Selon Montagnier, le signal en question pourait être détecté dans le domaine des ondes de basses fréquences (20 Hz - 20,000 Hz) par la technique de l'électro-acoustique classique. Un habituel signal de fond électromagnétique de basse fréquence émet après tout le signal, et à savoir dans le sens d'un phénomène de résonance. La condition serait que les molécules d'ADN ou d'ARN présentes dans l'eau soient très diluées<ref>http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1208</ref>. Les substances devraient y être diluées à des concentrations de 10<sup>-5</sup> à 10<sup>-12</sup>. Pour obtenir des signaux analysables, l'échantillon doit cependant être fortement secoué 15 secondes entre chaque étape de dilution par une machine à succussion - appelée Vortex - comme dans la fabrication du remède homéopathique. C'est ce que prévoit du moins le fascicule de brevet de Montagnier 0605599. | Selon Montagnier, le signal en question pourait être détecté dans le domaine des ondes de basses fréquences (20 Hz - 20,000 Hz) par la technique de l'électro-acoustique classique. Un habituel signal de fond électromagnétique de basse fréquence émet après tout le signal, et à savoir dans le sens d'un phénomène de résonance. La condition serait que les molécules d'ADN ou d'ARN présentes dans l'eau soient très diluées<ref>http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1208</ref>. Les substances devraient y être diluées à des concentrations de 10<sup>-5</sup> à 10<sup>-12</sup>. Pour obtenir des signaux analysables, l'échantillon doit cependant être fortement secoué 15 secondes entre chaque étape de dilution par une machine à succussion - appelée Vortex - comme dans la fabrication du remède homéopathique. C'est ce que prévoit du moins le fascicule de brevet de Montagnier 0605599. |