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| == Liens externes == | | == Liens externes == |
− | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4490322/ Unorthodox Alternative Therapies Marketed to Treat Lyme Disease (Des thérapies alternatives peu orthodoxes commercialisées pour traiter la [[maladie de Lyme]]). Article publié dans Clin Infect Dis. 2015 Jun 15.<br>Examples of Alternative Medical Therapies Marketed to Patients for the Treatment of Lyme Disease. Dans la catégorie Oxygen: Hyperbaric oxygen, Hydrogen peroxide, Ozone; dans la catégorie Energy and radiation: Ultraviolet light, Photon therapy, “Cold” lasers, Saunas and steam rooms, “Rife” therapy (electromagnetic frequency treatments), Magnets: dans la catérory Metal/chelation: Mercury chelation and removal, Dimercaptosuccinic acid (DMSA), 2,3-Dimercapto-1-propanesulfonic acid (DMPS), Alpha lipoic acid (ALA), Ethylene diamine tetraacetic acid (EDTA), Removal of dental amalgam, Colloidal silver, Bismuth. | + | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4490322/ Unorthodox Alternative Therapies Marketed to Treat Lyme Disease (Des thérapies alternatives peu orthodoxes commercialisées pour traiter la maladie de Lyme). Article publié dans Clin Infect Dis. 2015 Jun 15.<br>Examples of Alternative Medical Therapies Marketed to Patients for the Treatment of Lyme Disease. Dans la catégorie Oxygen: Hyperbaric oxygen, Hydrogen peroxide, Ozone; dans la catégorie Energy and radiation: Ultraviolet light, Photon therapy, “Cold” lasers, Saunas and steam rooms, “Rife” therapy (electromagnetic frequency treatments), Magnets: dans la caterory Metal/chelation: Mercury chelation and removal, Dimercaptosuccinic acid (DMSA), 2,3-Dimercapto-1-propanesulfonic acid (DMPS), Alpha lipoic acid (ALA), Ethylene diamine tetraacetic acid (EDTA), Removal of dental amalgam, Colloidal silver, Bismuth. [entre autres] |
| * https://sciencebasedmedicine.org/more-political-science-proposed-laws-protect-lyme-literate-doctors-from-discipline/ More Political Science: Proposed laws protect “Lyme literate” doctors from discipline<br>“Lyme literate” doctors are scamming patients out of thousands of dollars with needless long-term antibiotics based on a fake diagnosis of “chronic Lyme.” So why are state legislators trying to protect these doctors from discipline and make insurers pay for unnecessary treatments?<br>Jann Bellamy on March 15, 2018<br>Traduction du titre et du sous titre de l'article de Jann Bellamy: Plus de science politique : Les lois proposées protègent les “Lyme literate” doctors [LLMDs, appelés en France les « Lyme doctors »] des mesures disciplinaires [des State Medical Boards (Conseils Médicaux des États)].<br>Les “Lyme literate” doctors escroquent des patients de milliers de dollars avec des antibiotiques à long terme inutiles sur la base d'un faux diagnostic de "Lyme chronique". Alors pourquoi les législateurs des États tentent-ils de protéger ces médecins des mesures disciplinaires et de faire payer par les assureurs des traitements inutiles ? | | * https://sciencebasedmedicine.org/more-political-science-proposed-laws-protect-lyme-literate-doctors-from-discipline/ More Political Science: Proposed laws protect “Lyme literate” doctors from discipline<br>“Lyme literate” doctors are scamming patients out of thousands of dollars with needless long-term antibiotics based on a fake diagnosis of “chronic Lyme.” So why are state legislators trying to protect these doctors from discipline and make insurers pay for unnecessary treatments?<br>Jann Bellamy on March 15, 2018<br>Traduction du titre et du sous titre de l'article de Jann Bellamy: Plus de science politique : Les lois proposées protègent les “Lyme literate” doctors [LLMDs, appelés en France les « Lyme doctors »] des mesures disciplinaires [des State Medical Boards (Conseils Médicaux des États)].<br>Les “Lyme literate” doctors escroquent des patients de milliers de dollars avec des antibiotiques à long terme inutiles sur la base d'un faux diagnostic de "Lyme chronique". Alors pourquoi les législateurs des États tentent-ils de protéger ces médecins des mesures disciplinaires et de faire payer par les assureurs des traitements inutiles ? |
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− | * http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2840 La maladie de Lyme : entre psychose et fausses informations par Jean-Paul Krivine, SPS n°321, juillet 2017: Le monstre, l’ennemi, est tout petit mais effrayant : il s’agit des bactéries du genre Borrelia, transmises par des piqûres de tiques qui peuvent provoquer des pathologies que l’on regroupe sous le nom de maladie de Lyme ou borréliose de Lyme. Effrayant car chacun serait menacé, dans son jardin ou en se promenant en forêt. Le diagnostic et les traitements ne seraient pas adaptés. [...] Une sensation d’effroi gagne le public. Et comment pourrait-il en être autrement, quand certains affirment que cette maladie, si complexe, pourrait jouer un rôle dans la schizophrénie, la maladie de Parkinson, la dépression, les troubles bipolaires, les infarctus, la méningite, la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, et même l’autisme ? [...] La FFMVT qui regroupe en France les principales associations qui s’opposent au consensus scientifique demande « une remise en question des recommandations de la conférence de consensus de 2006 » au profit de celles de l’ILADS, son homologue américain. L’ILADS, entre autres, affirme l’existence d’une forme chronique de la maladie de Lyme et la nécessité de traitements antibiotiques longs. [...]br>En 2014, l’ILADS a mis à jour ses recommandations et les a soumises pour évaluation à l’AHRQ, l’Agence pour la recherche et la qualité des soins de santé qui dépend du ministère américain de la Santé (HHS). Et les résultats sont désastreux : toutes les recommandations de l’ILADS ont été confrontées à la littérature scientifique et se sont vu attribuer la plus mauvaise note (preuves « très faibles ») sur une échelle comportant quatre niveaux (preuves « hautes », « moyennes », « faibles », « très faibles »)<br>C’est paradoxalement cette évaluation négative qui est à l’origine d’une fausse information propagée par les associations qui affirment que les recommandations de l’ILADS ont été « validées depuis le 21 septembre 2015 par le HHS ». La simple mise en ligne semble servir de « preuve ». Or, comme stipulé clairement, « le NGC ne développe, ne produit, ne valide ou n’approuve pas les lignes directrices présentées », pas plus « qu’il n’apporte de garantie concernant le contenu ou l’efficacité clinique » des recommandations soumises. Il se contente juste de mettre en ligne son évaluation dès lors que le requérant, dans sa soumission, a bien respecté les critères exigés (description de la littérature scientifique). Pour sa part, le site du département de la santé (www.hhs.gov) renvoie toujours sur les sites des CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) et des NIH (Instituts nationaux de santé) avec les recommandations issues du consensus de 2006. | + | * http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2840 La maladie de Lyme : entre psychose et fausses informations par Jean-Paul Krivine, SPS n°321, juillet 2017: Le monstre, l’ennemi, est tout petit mais effrayant : il s’agit des bactéries du genre Borrelia, transmises par des piqûres de tiques qui peuvent provoquer des pathologies que l’on regroupe sous le nom de maladie de Lyme ou borréliose de Lyme. Effrayant car chacun serait menacé, dans son jardin ou en se promenant en forêt. Le diagnostic et les traitements ne seraient pas adaptés. [...] Une sensation d’effroi gagne le public. Et comment pourrait-il en être autrement, quand certains affirment que cette maladie, si complexe, pourrait jouer un rôle dans la schizophrénie, la maladie de Parkinson, la dépression, les troubles bipolaires, les infarctus, la méningite, la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, et même l’autisme ? [...] La [[FFMVT]] qui regroupe en France les principales associations qui s’opposent au consensus scientifique demande « une remise en question des recommandations de la conférence de consensus de 2006 » au profit de celles de l’[[ILADS]], son homologue américain. L’[[ILADS]], entre autres, affirme l’existence d’une forme chronique de la maladie de Lyme et la nécessité de traitements antibiotiques longs. [...]<br>En 2014, l’[[ILADS]) a mis à jour ses recommandations et les a soumises pour évaluation à l’AHRQ, l’Agence pour la recherche et la qualité des soins de santé qui dépend du ministère américain de la Santé (HHS). Et les résultats sont désastreux : toutes les recommandations de l’[[ILADS]] ont été confrontées à la littérature scientifique et se sont vu attribuer la plus mauvaise note (preuves « très faibles ») sur une échelle comportant quatre niveaux (preuves « hautes », « moyennes », « faibles », « très faibles »)<br>C’est paradoxalement cette évaluation négative qui est à l’origine d’une fausse information propagée par les associations qui affirment que les recommandations de l’[[ILADS]] ont été « validées depuis le 21 septembre 2015 par le HHS ». La simple mise en ligne semble servir de « preuve ». Or, comme stipulé clairement, « le NGC ne développe, ne produit, ne valide ou n’approuve pas les lignes directrices présentées », pas plus « qu’il n’apporte de garantie concernant le contenu ou l’efficacité clinique » des recommandations soumises. Il se contente juste de mettre en ligne son évaluation dès lors que le requérant, dans sa soumission, a bien respecté les critères exigés (description de la littérature scientifique). Pour sa part, le site du département de la santé (www.hhs.gov) renvoie toujours sur les sites des CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) et des NIH (Instituts Nationaux de Santé) avec les recommandations issues du consensus de 2006. |
| * http://www.jim.fr/medecin/jimplus/tribune/e-docs/la_face_cachee_des_lyme_doctors__166435/document_edito.phtml La face cachée des "Lyme Doctors". Publié le 08/07/2017 dans le Journal International de Médecine (JIM)<br>[...] Rédacteur en chef de la revue Science et Pseudo Sciences, Jean-Paul Krivine a ainsi réalisé pour nous un remarquable travail d’enquête sur la face cachée des associations dédiées à la maladie de Lyme, en décryptant notamment le rôle des Lyme Doctors. Voilà qui pourrait en faire tiquer plus d’un. [...] | | * http://www.jim.fr/medecin/jimplus/tribune/e-docs/la_face_cachee_des_lyme_doctors__166435/document_edito.phtml La face cachée des "Lyme Doctors". Publié le 08/07/2017 dans le Journal International de Médecine (JIM)<br>[...] Rédacteur en chef de la revue Science et Pseudo Sciences, Jean-Paul Krivine a ainsi réalisé pour nous un remarquable travail d’enquête sur la face cachée des associations dédiées à la maladie de Lyme, en décryptant notamment le rôle des Lyme Doctors. Voilà qui pourrait en faire tiquer plus d’un. [...] |
| * http://realitesbiomedicales.blog.lemonde.fr/2017/06/19/maladie-de-lyme-chronique-le-danger-des-traitements-prolonges-par-antibiotiques/ <br>« Maladie de Lyme chronique » : le danger des traitements prolongés par antibiotiques. 19 juin 2017, par Marc Gozlan. | | * http://realitesbiomedicales.blog.lemonde.fr/2017/06/19/maladie-de-lyme-chronique-le-danger-des-traitements-prolonges-par-antibiotiques/ <br>« Maladie de Lyme chronique » : le danger des traitements prolongés par antibiotiques. 19 juin 2017, par Marc Gozlan. |
− | * http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201706/06/01-5104961-un-neurologue-denonce-le-lobby-de-la-maladie-de-lyme-chronique.php Un neurologue dénonce le «lobby» de la maladie de Lyme chronique. Auteur de l'article Élisabeth Fleury. Publié le 06 juin 2017.<br>Québec) Les données scientifiques factuelles ne soutiennent pas l'existence d'une forme chronique de la maladie de Lyme, affirme un neurologue du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), le Dr Marc Girard, qui n'hésite pas à qualifier de «lobby» les tenants de ce concept. [...] | + | * http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201706/06/01-5104961-un-neurologue-denonce-le-lobby-de-la-maladie-de-lyme-chronique.php Un neurologue dénonce le «lobby» de la [[maladie de Lyme chronique]]. Auteur de l'article Élisabeth Fleury. Publié le 06 juin 2017.<br>Québec) Les données scientifiques factuelles ne soutiennent pas l'existence d'une forme chronique de la maladie de Lyme, affirme un neurologue du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), le Dr Marc Girard, qui n'hésite pas à qualifier de «lobby» les tenants de ce concept. [...] |
− | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27028911 Randomized Trial of Longer-Term Therapy for Symptoms Attributed to Lyme Disease<br>(Essai randomisé d'un traitement à plus long terme pour des symptômes attribués à la [[maladie de Lyme]]).<br>Publié le 31 mars 2016 dans The New England Journal of Medicine.<br>Parmi les nombreux co-auteurs de cet essai figure Bart Jan Kullberg (des Pays-bas) qui a commenté le documentaire danois "Snyd eller Borrelia".<br>CONCLUSION [de l'essai]:<br>'''Chez les patients présentant des symptômes persistants attribués à la maladie de Lyme, le traitement antibiotique à long terme n’a pas eu d’effets bénéfiques supplémentaires sur la qualité de vie liée à la santé par rapport à ceux traités à court terme.'''<br>Le Pr Christian Perronne a tout de suite critiqué l'essai dont la conclusion contredisait de toute évidence les recommandations (guidelines) de l'[[ILADS]].<ref>http://ffmvt.org/reponse-au-new-england-journal-of-medicine/.</ref> | + | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27028911 Randomized Trial of Longer-Term Therapy for Symptoms Attributed to Lyme Disease<br>(Essai randomisé d'un traitement à plus long terme pour des symptômes attribués à la maladie de Lyme).<br>Publié le 31 mars 2016 dans The New England Journal of Medicine.<br>Parmi les nombreux co-auteurs de cet essai figure Bart Jan Kullberg (des Pays-bas) qui a commenté le documentaire danois "Snyd eller Borrelia".<br>CONCLUSION [de l'essai]:<br>'''Chez les patients présentant des symptômes persistants attribués à la maladie de Lyme, le traitement antibiotique à long terme n’a pas eu d’effets bénéfiques supplémentaires sur la qualité de vie liée à la santé par rapport à ceux traités à court terme.'''<br>Le Pr Christian Perronne a tout de suite critiqué l'essai dont la conclusion contredisait de toute évidence les recommandations (guidelines) de l'[[ILADS]].<ref>http://ffmvt.org/reponse-au-new-england-journal-of-medicine/.</ref> |
− | * http://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/lyme.html Article en anglais "Lyme Disease: Questionable Diagnosis and Treatment" (Maladie de Lyme : Diagnostic et traitement douteux), par Edward McSweegan, Ph.D. This article was revised on June 28, 2017<br>[Traduction Deepl de la conclusion:]<br> - La maladie de Lyme, lorsqu'elle est diagnostiquée tôt, peut être facilement traitée par des antibiotiques oraux.<br> - Les tests d'anticorps positifs, en eux-mêmes, ne fournissent pas une base suffisante pour diagnostiquer la maladie de Lyme. Le diagnostic doit être fondé sur le tableau clinique global, y compris les antécédents médicaux et les résultats physiques.<br> - Un test d'anticorps négatif après les premières semaines suggère fortement que le patient n'est pas atteint de la maladie de Lyme.<br> - De nombreux patients présentant des symptômes chroniques et non spécifiques (tels que maux de tête, fatigue, douleurs musculaires, confusion mentale ou troubles du sommeil) croient à tort être atteints de la maladie de Lyme.<br> - L'antibiothérapie intraveineuse, lorsqu'elle est administrée de façon appropriée, ne devrait pas durer plus d'un mois. Elle ne doit pas être administré à moins que l'antibiothérapie orale n'ait échoué et qu'une infection active persistante n'ait été démontrée par culture, biopsie ou autre technique bactériologique.<br> - La paludothérapie, l'hyperthermie intracellulaire, l'[[oxygénothérapie hyperbare]], l'[[argent colloïdal]], les [[complément alimentaire|suppléments alimentaires]] et les herbes ne sont pas des mesures appropriées pour traiter la maladie de Lyme. Les médecins qui les recommandent doivent être évités. | + | * http://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/lyme.html Article en anglais "Lyme Disease: Questionable Diagnosis and Treatment" (Maladie de Lyme : Diagnostic et traitement douteux), par Edward McSweegan, Ph.D. This article was revised on June 28, 2017<br>[Traduction Deepl de la conclusion:]<br> - La Maladie de Lyme, lorsqu'elle est diagnostiquée tôt, peut être facilement traitée par des antibiotiques oraux.<br> - Les tests d'anticorps positifs, en eux-mêmes, ne fournissent pas une base suffisante pour diagnostiquer la maladie de Lyme. Le diagnostic doit être fondé sur le tableau clinique global, y compris les antécédents médicaux et les résultats physiques.<br> - Un test d'anticorps négatif après les premières semaines suggère fortement que le patient n'est pas atteint de la maladie de Lyme.<br> - De nombreux patients présentant des symptômes chroniques et non spécifiques (tels que maux de tête, fatigue, douleurs musculaires, confusion mentale ou troubles du sommeil) croient à tort être atteints de la maladie de Lyme.<br> - L'antibiothérapie intraveineuse, lorsqu'elle est administrée de façon appropriée, ne devrait pas durer plus d'un mois. Elle ne doit pas être administré à moins que l'antibiothérapie orale n'ait échoué et qu'une infection active persistante n'ait été démontrée par culture, biopsie ou autre technique bactériologique.<br> - La paludothérapie, l'hyperthermie intracellulaire, l'[[oxygénothérapie hyperbare]], l'[[argent colloïdal]], les [[complément alimentaire|suppléments alimentaires]] et les herbes ne sont pas des mesures appropriées pour traiter la maladie de Lyme. Les médecins qui les recommandent doivent être évités. |
| * http://www.quackwatch.org/search/webglimpse.cgi?ARCHID_15=15&query=lyme Plusieurs articles en anglais (2005 à 2017) | | * http://www.quackwatch.org/search/webglimpse.cgi?ARCHID_15=15&query=lyme Plusieurs articles en anglais (2005 à 2017) |
| * https://lymescience.org/scientific-consensus/ | | * https://lymescience.org/scientific-consensus/ |
| * http://www.sceptiques.qc.ca/quackwatch/maladielyme.php La maladie de Lyme: diagnostic et traitement douteux. Edward McSweegan, Ph.D. Cet article a été revisé le 12 juillet, 2009. Traduction et mise-à-jour le 3 déc. 2009.July 12, 2009. | | * http://www.sceptiques.qc.ca/quackwatch/maladielyme.php La maladie de Lyme: diagnostic et traitement douteux. Edward McSweegan, Ph.D. Cet article a été revisé le 12 juillet, 2009. Traduction et mise-à-jour le 3 déc. 2009.July 12, 2009. |
− | * http://www.casewatch.org/doj/bradford/indictment.shtml Robert W. Bradford Indicted (2008). Stephen Barrett, M.D. This page was revised on January 19, 2010. | + | * http://www.casewatch.org/doj/bradford/indictment.shtml [[Robert Bradford|Robert W. Bradford]] Indicted (2008). Stephen Barrett, M.D. This page was revised on January 19, 2010. |
| * http://www.aldf.com/myths-about-lyme-disease/ Myths About Lyme Disease (Mythes à propos de la Maladie de Lyme)<br> - Misinformation on Lyme Disease (Désinformation sur la Maladie de Lyme).<br> - Two-tier testing for Lyme disease is no better than a coin toss (Les tests à deux niveaux pour la maladie de Lyme ne valent pas mieux qu'un tirage au sort [à pile ou face]).<br> - Lyme Disease is not sexually transmitted (La maladie n'est pas transmise sexuellement).<br> - Lyme disease-autism correlation debunked (déconstruction de la corrélation maladie de Lyme - autisme).<br> - Chronic co-infections are not invariably associated with Lyme disease (Les co-infections chroniques ne sont pas toujours associées à la maladie de Lyme).<br> - Misconceptions about Lyme Disease (Idées fausses à propos de la maladie de Lyme).<br> - Chronic Lyme Disease: Misconceptions and Challenges for Patient Management (Maladie de Lyme chronique: idées fausses et défis pour la prise en charge des patients).<br> -''Borrelia burgdorferi'' Morphologic Variants, Sometimes Called Cyst Forms, Do not Support a Role in Chronic Lyme Disease (Les variantes morphologiques de la ''Borrelia burgdorferi'', parfois appelées formes kystiques, ne jouent pas de rôle dans la maladie de Lyme chronique).<br> - Is there an association between Lyme disease and certain neurodegenerative disorders such as Alzheimer’s disease, amylotrophic lateral sclerosis (ALS), multiple sclerosis (MS), and Parkinson’s disease? (Existe-t-il une association entre la maladie de Lyme et certains troubles neurodégénératifs tels que la maladie d'Alzheimer, la sclérose latérale amylotrophique (SLA), la sclérose en plaques (MS) et la maladie de Parkinson?)<br>[Psiram.com: On accède aux explications sur chacun de ces sujets en cliquant sur celui qu'on veut consulter. Chaque sujet comporte lui-même plusieurs articles. Par exemple, dans le sujet "Misinformation on Lyme Disease", on trouve plusieurs articles dont "Does Lyme disease induce autism in children ?" (La maladie de Lyme induit-elle l'autisme chez les enfants ?)] | | * http://www.aldf.com/myths-about-lyme-disease/ Myths About Lyme Disease (Mythes à propos de la Maladie de Lyme)<br> - Misinformation on Lyme Disease (Désinformation sur la Maladie de Lyme).<br> - Two-tier testing for Lyme disease is no better than a coin toss (Les tests à deux niveaux pour la maladie de Lyme ne valent pas mieux qu'un tirage au sort [à pile ou face]).<br> - Lyme Disease is not sexually transmitted (La maladie n'est pas transmise sexuellement).<br> - Lyme disease-autism correlation debunked (déconstruction de la corrélation maladie de Lyme - autisme).<br> - Chronic co-infections are not invariably associated with Lyme disease (Les co-infections chroniques ne sont pas toujours associées à la maladie de Lyme).<br> - Misconceptions about Lyme Disease (Idées fausses à propos de la maladie de Lyme).<br> - Chronic Lyme Disease: Misconceptions and Challenges for Patient Management (Maladie de Lyme chronique: idées fausses et défis pour la prise en charge des patients).<br> -''Borrelia burgdorferi'' Morphologic Variants, Sometimes Called Cyst Forms, Do not Support a Role in Chronic Lyme Disease (Les variantes morphologiques de la ''Borrelia burgdorferi'', parfois appelées formes kystiques, ne jouent pas de rôle dans la maladie de Lyme chronique).<br> - Is there an association between Lyme disease and certain neurodegenerative disorders such as Alzheimer’s disease, amylotrophic lateral sclerosis (ALS), multiple sclerosis (MS), and Parkinson’s disease? (Existe-t-il une association entre la maladie de Lyme et certains troubles neurodégénératifs tels que la maladie d'Alzheimer, la sclérose latérale amylotrophique (SLA), la sclérose en plaques (MS) et la maladie de Parkinson?)<br>[Psiram.com: On accède aux explications sur chacun de ces sujets en cliquant sur celui qu'on veut consulter. Chaque sujet comporte lui-même plusieurs articles. Par exemple, dans le sujet "Misinformation on Lyme Disease", on trouve plusieurs articles dont "Does Lyme disease induce autism in children ?" (La maladie de Lyme induit-elle l'autisme chez les enfants ?)] |
| * https://sciencebasedmedicine.org/lyme-two-worlds-compared-and-contrasted/ Lyme: Deux mondes comparés et contrastés. Mark Crislip on March 20, 2015 | | * https://sciencebasedmedicine.org/lyme-two-worlds-compared-and-contrasted/ Lyme: Deux mondes comparés et contrastés. Mark Crislip on March 20, 2015 |
− | * https://sciencebasedmedicine.org/florida-revokes-medical-license-of-lyme-literate-doctor/ Florida revokes medical license of “Lyme literate” doctor.<br>Florida finally revoked the medical license of “Lyme literate” doctor John Lentz, who honed his diagnostic skills and treatments in ILADS seminars and treated “chronic Lyme” for almost a decade. Why does the system allow this?<br>La Floride révoque la licence médicale d'un “Lyme literate” docteur. La Floride a finalement révoqué la licence médicale du “Lyme literate” docteur John Lentz, qui a perfectionné ses compétences diagnostiques et ses traitements dans les séminaires de l'ILADS et a traité la [maladie de] «Lyme chronique» pendant près d'une décennie. Pourquoi le système l'autorise-t-il ça?<br>Jann Bellamy on December 22, 2016<br>Le Conseil de médecine de Floride a révoqué la licence médicale de John Lentz, MD, qui gérait la Lentz Lyme Clinic à Destin, le 4 Novembre 2016, par un vote à l'unanimité. Ce faisant, il a adopté la recommandation d'un Administrative Law Judge (ALJ) [juge spécialisé en droit administratif], publiée en juillet de cette année, suite à une audience de 4 jours en janvier. Le Conseil a voté contre l'imposition d'une amende de 30 000 $ recommandée par l'ALJ.<br>La seule présence d'une “Lyme clinic” en Floride est une anomalie qui montre que quelque chose pourrait clocher. Comme l'a noté l'ALJ, bien qu'il ne soit pas impossible de contracter la maladie de Lyme en Floride, elle n'est pas fréquente dans l'état. Selon le CDC, en 2015, la Floride avait 0,6 cas confirmés par 100 000 habitants, soit un total de seulement 116 cas. La plupart des personnes diagnostiquées en Floride ont probablement été infectées lors d'un voyage ailleurs.<br>Mais une clinique de Lyme est parfaitement logique, sur le plan économique au moins, quand on comprend la métamorphose de la vrai maladie de Lyme en [[maladie deLyme chronique|maladie de Lyme "chronique"]] et de la vrai spécialité des maladies infectieuses en "spécialité" des "Lyme Literate" docteurs.<br>Les vrais praticiens spécialistes des maladies infectieuses passent par une résidence en médecine interne, suivie par des bourses de recherche sur les maladies infectieuses, prennent l'examen de certification de l'American Board of Internal Medicine [Conseil Américain en Médecine Interne] dans les maladies infectieuses, et sont membres de la Infectious Diseases Society of America (IDSA). Les "Lyme Literate" docteurs font des résidences dans n'importe quel domaine et obtiennent leur Lyme "compétences/formation" au moyen de séminaires où aucun soins réels aux patients ne peuvent être associés. Ils sont membres de l'[[ILADS|International Lyme and Associated Diseases Society]] (ILADS), une organisation qui préconise des critères très différents de [ceux de] l'IDSA pour le diagnostic et le traitement de la maladie de Lyme et dont les lignes directrices sont fondées sur "des preuves de très faible qualité".<br>[...] Un diagnostic de Lyme "chronique", qui n'est pas reconnu par la science médicale, est basé sur une collection de symptômes vagues, non spécifiques qui pourraient être attribués à bon nombre de choses (ou à rien).<br>"''Lyme est une maladie multi-systémique, et peut affecter toutes les parties du corps, causant de la fatigue, de la raideur dans la nuque, des maux de tête, de la sensibilité à la lumière et au son, des acouphènes (bourdonnements dans les oreilles), de l'anémie, des vertiges, des douleurs articulaires et musculaires, le brouillard du cerveau, des picotements, un engourdissement et des sensations de brûlure des extrémités, des problèmes de mémoire et de concentration, des difficultés de sommeil (à la fois d'endormissement et de réveils fréquents), des douleurs thoraciques et des palpitations et/ou des symptômes psychiatriques comme la dépression et l'anxiété.''"<br>[...] | + | * https://sciencebasedmedicine.org/florida-revokes-medical-license-of-lyme-literate-doctor/ Florida revokes medical license of “Lyme literate” doctor.<br>Florida finally revoked the medical license of “Lyme literate” doctor [[John Lentz]], who honed his diagnostic skills and treatments in ILADS seminars and treated “chronic Lyme” for almost a decade. Why does the system allow this?<br>La Floride révoque la licence médicale d'un “Lyme literate” docteur. La Floride a finalement révoqué la licence médicale du “Lyme literate” docteur [[John Lentz]], qui a perfectionné ses compétences diagnostiques et ses traitements dans les séminaires de l'[[ILADS]] et a traité la [maladie de] «Lyme chronique» pendant près d'une décennie. Pourquoi le système l'autorise-t-il ça?<br>Jann Bellamy on December 22, 2016<br>Le Conseil de médecine de Floride a révoqué la licence médicale de [[John Lentz]], MD, qui gérait la Lentz Lyme Clinic à Destin, le 4 Novembre 2016, par un vote à l'unanimité. Ce faisant, il a adopté la recommandation d'un Administrative Law Judge (ALJ) [juge spécialisé en droit administratif], publiée en juillet de cette année, suite à une audience de 4 jours en janvier. Le Conseil a voté contre l'imposition d'une amende de 30 000 $ recommandée par l'ALJ.<br>La seule présence d'une “Lyme clinic” en Floride est une anomalie qui montre que quelque chose pourrait clocher. Comme l'a noté l'ALJ, bien qu'il ne soit pas impossible de contracter la maladie de Lyme en Floride, elle n'est pas fréquente dans l'état. Selon le CDC, en 2015, la Floride avait 0,6 cas confirmés par 100 000 habitants, soit un total de seulement 116 cas. La plupart des personnes diagnostiquées en Floride ont probablement été infectées lors d'un voyage ailleurs.<br>Mais une clinique de Lyme est parfaitement logique, sur le plan économique au moins, quand on comprend la métamorphose de la vrai maladie de Lyme en [[maladie deLyme chronique|maladie de Lyme "chronique"]] et de la vrai spécialité des maladies infectieuses en "spécialité" des "Lyme Literate" docteurs.<br>Les vrais praticiens spécialistes des maladies infectieuses passent par une résidence en médecine interne, suivie par des bourses de recherche sur les maladies infectieuses, prennent l'examen de certification de l'American Board of Internal Medicine [Conseil Américain en Médecine Interne] dans les maladies infectieuses, et sont membres de la Infectious Diseases Society of America (IDSA). Les "Lyme Literate" docteurs font des résidences dans n'importe quel domaine et obtiennent leur Lyme "compétences/formation" au moyen de séminaires où aucun soins réels aux patients ne peuvent être associés. Ils sont membres de l'[[ILADS|International Lyme and Associated Diseases Society]] (ILADS), une organisation qui préconise des critères très différents de [ceux de] l'IDSA pour le diagnostic et le traitement de la maladie de Lyme et dont les lignes directrices sont fondées sur "des preuves de très faible qualité".<br>[...] Un diagnostic de Lyme "chronique", qui n'est pas reconnu par la science médicale, est basé sur une collection de symptômes vagues, non spécifiques qui pourraient être attribués à bon nombre de choses (ou à rien).<br>"''Lyme est une maladie multi-systémique, et peut affecter toutes les parties du corps, causant de la fatigue, de la raideur dans la nuque, des maux de tête, de la sensibilité à la lumière et au son, des acouphènes (bourdonnements dans les oreilles), de l'anémie, des vertiges, des douleurs articulaires et musculaires, le brouillard du cerveau, des picotements, un engourdissement et des sensations de brûlure des extrémités, des problèmes de mémoire et de concentration, des difficultés de sommeil (à la fois d'endormissement et de réveils fréquents), des douleurs thoraciques et des palpitations et/ou des symptômes psychiatriques comme la dépression et l'anxiété.''"<br>[...] |
| * http://www.chicagotribune.com/lifestyles/health/ct-met-chronic-lyme-disease-20101207-story.html Chronic Lyme disease: A dubious diagnosis. Patricia Callahan and Trine Tsouderos, Tribune reporters. December 8, 2010 | | * http://www.chicagotribune.com/lifestyles/health/ct-met-chronic-lyme-disease-20101207-story.html Chronic Lyme disease: A dubious diagnosis. Patricia Callahan and Trine Tsouderos, Tribune reporters. December 8, 2010 |
| * http://www.theday.com/article/20100423/OP01/304239950 IDSA vindicated after unfair Blumenthal attack. Published April 23.<br>Connecticut Attorney General Richard Blumenthal demonized the Infectious Disease Society of America after the release of its 2006 Lyme disease guidelines that rejected the long-term use of antibiotics because they were ineffective and dangerous. A comprehensive evaluation of those guidelines has now concluded the IDSA was right, the attorney general wrong.<br>Le procureur général du Connecticut, Richard Blumenthal, a diabolisé la Infectious Disease Society of America après la publication de ses lignes directrices sur la maladie de Lyme de 2006 qui ont rejeté l'utilisation à long terme des antibiotiques parce qu'ils étaient inefficaces et dangereux. Une évaluation complète de ces lignes directrices a maintenant conclu que l'IDSA avait raison, [et que] le procureur général [avait] tort. | | * http://www.theday.com/article/20100423/OP01/304239950 IDSA vindicated after unfair Blumenthal attack. Published April 23.<br>Connecticut Attorney General Richard Blumenthal demonized the Infectious Disease Society of America after the release of its 2006 Lyme disease guidelines that rejected the long-term use of antibiotics because they were ineffective and dangerous. A comprehensive evaluation of those guidelines has now concluded the IDSA was right, the attorney general wrong.<br>Le procureur général du Connecticut, Richard Blumenthal, a diabolisé la Infectious Disease Society of America après la publication de ses lignes directrices sur la maladie de Lyme de 2006 qui ont rejeté l'utilisation à long terme des antibiotiques parce qu'ils étaient inefficaces et dangereux. Une évaluation complète de ces lignes directrices a maintenant conclu que l'IDSA avait raison, [et que] le procureur général [avait] tort. |
− | * https://sciencebasedmedicine.org/legislative-alchemy-2014-so-far/ Legislative Alchemy 2014 (so far). Jann Bellamy on May 15, 2014.<br>Traduction: L'alchimie législative 2014 (jusqu'à maintenant)<br>L'alchimie législative est le processus par lequel les législateurs de l'État crédules transforment les praticiens de pseudoscience en professionnels de la santé agréés par l'État. En plus laisser libre cours au charlatanisme comme l'[[homéopathie]], l'[[Hydrothérapie du côlon|irrigation colonique]], la [[moxibustion]], le [[reiki]], la thérapie crânio-sacrale et la détection et la correction des subluxations sur le public, ces lois sur le cadre d'exercice des soins donnent généralement aux chiropraticiens, aux [[naturopathie|naturopathes]] et aux [[acupuncture|acupuncteurs]] la liberté d'être gouvernés par leurs propres regulatory boards [conseils régulateurs, organismes de contrôle des pratiques et des soins aux USA] auxquels les praticiens eux-mêmes sont nommés. Les conseils, à leur tour, écrivent les règles administratives régissant les praticiens et traitent les plaintes du public au sujet de leurs services. Dans les pires cas, les législateurs accordent tout simplement le privilège de pratiquer la médecine <ref>https://sciencebasedmedicine.org/the-quack-full-employment-act/</ref> à peu près n'importe qui.<br>Les lois de pratique des États établissent également les normes d'éducation et de formation pour les praticiens en exigeant l'obtention du diplôme de leurs écoles accréditées. Ici, le gouvernement fédéral leur prête main forte, en confiant l'accréditation à organismes privés gérés par les praticiens eux-mêmes. Le gouvernement fédéral soutient également les écoles en leur accordant des prêts étudiants financés par des contribuables et des fonds de recherche.<br>Si les législateurs ne donnent pas aux praticiens de la CAM [Médecine Complémentaire et Alternative] tout ce qu'ils veulent la première fois, ils reviennent année après année jusqu'à ce qu'ils soient pleinement satisfaits. Le pompon est atteint par le statut de praticiens de soins primaires avec une couverture d'assurance maladie complète. [...]<br>Chiropractie [...]<br>[[Naturopathie]] [...]<br>[[Acupuncture]] [...]<br>Autre législation favorable à la CAM<br>J'ai gardé l'une des pires pour la fin. Un projet de loi sur la «maladie de Lyme chronique » [en anglais Chronic Lyme Disease (CLD)] a été adopté par l'assemblée législative du Vermont et est maintenant sur le bureau du gouverneur. Une idée de la force du lobby maladie de Lyme chronique est fournie par le fait que le projet de loi avait 31 co-sponsors à la Chambre [parlementaire] du Vermont.<br>Non seulement il [le projet de loi] accepte la maladie fictive elle-même, mais il comprend le diagnostic et le traitement du multiple systemic infectious disease syndrome [(MSIDS), en français: syndrome infectieux multisystémique (SIMS)]. Bien que le projet de loi ne l'appelle pas par ce nom, le syndrome (discuté par Harriet Hall ici <ref>https://sciencebasedmedicine.org/does-everybody-have-chronic-lyme-disease-does-anyone/</ref>) est décrit dans ses dispositions.<br>Le projet de loi indique «une série d'opinions dans la communauté médicale concernant le traitement approprié de la maladie de Lyme». En fait, la «communauté médicale» est convaincue <ref>http://www.idsociety.org/uploadedFiles/IDSA/Topics_of_Interest/Lyme_Disease/Policy_Documents/Lyme%20Disease%20Testimony-Global%20Health%20Subcommittee.pdf</ref> que la CLD est un diagnostic inapproprié et que la thérapie antibiotique à long terme n'est pas justifiée et potentiellement dangereuse. Seuls des cas particuliers qui ont créé également une spécialité fictive, les Lyme-Literate Medical Doctors (LLMDs), croient que la CLD est une réalité. Les [[naturopathie|naturopathes]], d'autre part, ne semblent pas avoir un problème avec la réprobation générale des professionnels de la santé qui exploitent les patients en leur disant qu'ils ont une CLD, et pourquoi en auraient-ils ? Heureusement pour eux, les ND [docteurs en naturopathie], qui ont un grand nombre de cabinets [de consultation] dans le Vermont incluant le privilège de prescription, font partie de ceux qui peuvent diagnostiquer et traiter la CLD.<br>[...] | + | * https://sciencebasedmedicine.org/legislative-alchemy-2014-so-far/ Legislative Alchemy 2014 (so far). Jann Bellamy on May 15, 2014.<br>Traduction: L'alchimie législative 2014 (jusqu'à maintenant)<br>L'alchimie législative est le processus par lequel les législateurs de l'État crédules transforment les praticiens de pseudoscience en professionnels de la santé agréés par l'État. En plus laisser libre cours au charlatanisme comme l'[[homéopathie]], l'[[Hydrothérapie du côlon|irrigation colonique]], la [[moxibustion]], le [[reiki]], la thérapie crânio-sacrale et la détection et la correction des subluxations sur le public, ces lois sur le cadre d'exercice des soins donnent généralement aux chiropraticiens, aux [[naturopathie|naturopathes]] et aux [[acupuncture|acupuncteurs]] la liberté d'être gouvernés par leurs propres regulatory boards [conseils régulateurs, organismes de contrôle des pratiques et des soins aux USA] auxquels les praticiens eux-mêmes sont nommés. Les conseils, à leur tour, écrivent les règles administratives régissant les praticiens et traitent les plaintes du public au sujet de leurs services. Dans les pires cas, les législateurs accordent tout simplement le privilège de pratiquer la médecine <ref>https://sciencebasedmedicine.org/the-quack-full-employment-act/</ref> à peu près n'importe qui.<br>Les lois de pratique des États établissent également les normes d'éducation et de formation pour les praticiens en exigeant l'obtention du diplôme de leurs écoles accréditées. Ici, le gouvernement fédéral leur prête main forte, en confiant l'accréditation à organismes privés gérés par les praticiens eux-mêmes. Le gouvernement fédéral soutient également les écoles en leur accordant des prêts étudiants financés par des contribuables et des fonds de recherche.<br>Si les législateurs ne donnent pas aux praticiens de la CAM [Médecine Complémentaire et Alternative] tout ce qu'ils veulent la première fois, ils reviennent année après année jusqu'à ce qu'ils soient pleinement satisfaits. Le pompon est atteint par le statut de praticiens de soins primaires avec une couverture d'assurance maladie complète. [...]<br>Chiropractie [...]<br>[[Naturopathie]] [...]<br>[[Acupuncture]] [...]<br>Autre législation favorable à la CAM<br>J'ai gardé l'une des pires pour la fin. Un projet de loi sur la «maladie de Lyme chronique » [en anglais Chronic Lyme Disease (CLD)] a été adopté par l'assemblée législative du Vermont et est maintenant sur le bureau du gouverneur. Une idée de la force du lobby [[maladie de Lyme chronique]] est fournie par le fait que le projet de loi avait 31 co-sponsors à la Chambre [parlementaire] du Vermont.<br>Non seulement il [le projet de loi] accepte la maladie fictive elle-même, mais il comprend le diagnostic et le traitement du multiple systemic infectious disease syndrome [(MSIDS), en français: syndrome infectieux multisystémique (SIMS)]. Bien que le projet de loi ne l'appelle pas par ce nom, le syndrome (discuté par Harriet Hall ici <ref>https://sciencebasedmedicine.org/does-everybody-have-chronic-lyme-disease-does-anyone/</ref>) est décrit dans ses dispositions.<br>Le projet de loi indique «une série d'opinions dans la communauté médicale concernant le traitement approprié de la maladie de Lyme». En fait, la «communauté médicale» est convaincue <ref>http://www.idsociety.org/uploadedFiles/IDSA/Topics_of_Interest/Lyme_Disease/Policy_Documents/Lyme%20Disease%20Testimony-Global%20Health%20Subcommittee.pdf</ref> que la CLD est un diagnostic inapproprié et que la thérapie antibiotique à long terme n'est pas justifiée et potentiellement dangereuse. Seuls des cas particuliers qui ont créé également une spécialité fictive, les Lyme-Literate Medical Doctors (LLMDs), croient que la CLD est une réalité. Les [[naturopathie|naturopathes]], d'autre part, ne semblent pas avoir un problème avec la réprobation générale des professionnels de la santé qui exploitent les patients en leur disant qu'ils ont une CLD, et pourquoi en auraient-ils ? Heureusement pour eux, les ND [docteurs en naturopathie], qui ont un grand nombre de cabinets [de consultation] dans le Vermont incluant le privilège de prescription, font partie de ceux qui peuvent diagnostiquer et traiter la [[Maladie de Lyme chronique|CLD]].<br>[...] |
− | * http://scienceblogs.com/insolence/2017/06/21/deaths-and-complications-due-to-treating-the-fake-disease-known-as-chronic-lyme-disease/ Deaths and complications due to treating the fake disease known as “chronic Lyme disease” (Décès et complications dus au traitement de la fausse maladie connue sous le nom de “maladie de Lyme chronique”). Posted by Orac on June 21, 2017. | + | * http://scienceblogs.com/insolence/2017/06/21/deaths-and-complications-due-to-treating-the-fake-disease-known-as-chronic-lyme-disease/ Deaths and complications due to treating the fake disease known as “chronic Lyme disease” (Décès et complications dus au traitement de la fausse maladie connue sous le nom de “[[maladie de Lyme chronique]]”). Posted by Orac on June 21, 2017. |
| * https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/66/wr/mm6623a3.htm?s_cid=mm6623a3_w Serious Bacterial Infections Acquired During Treatment of Patients Given a Diagnosis of Chronic Lyme Disease — United States (Infections bactériennes graves acquises pendant le traitement de patients en raison du diagnostic de la maladie de Lyme chronique - États-Unis). Weekly / June 16, 2017 / 66(23);607–609.<br>Auteurs: Natalie S. Marzec, MD<sup>1</sup> ; Christina Nelson, MD<sup>2</sup> ; Paul Ravi Waldron, MD<sup>3</sup> ; Brian G. Blackburn, MD<sup>4</sup> ; Syed Hosain, MD <sup>5</sup>; Tara Greenhow, MD <sup>6</sup>; Gary M. Green, MD<sup>6</sup> ; Catherine Lomen-Hoerth, MD, PhD<sup>7</sup> ; Marjorie Golden, MD, PhD <sup>8</sup>; Paul S. Mead, MD<sup>2</sup>.<br>Les auteurs font partie de :<br><sup>1</sup>Preventive Medicine Residency, University of Colorado, Aurora, Colorado; <br><sup>2</sup>Division of Vector-Borne Diseases, National Center for Emerging and Zoonotic Infectious Diseases, CDC; <br><sup>3</sup>Kaiser Permanente, San Jose, California; <br><sup>4</sup>Division of Infectious Diseases and Geographic Medicine, Stanford University School of Medicine, Stanford, California; <br><sup>5</sup>LifeBridge Health, Westminster, Maryland; <br><sup>6</sup>Kaiser Permanente, Santa Rosa, California; <br><sup>7</sup>University of California, San Francisco, California; <br><sup>8</sup>Yale University School of Medicine, New Haven, Connecticut. | | * https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/66/wr/mm6623a3.htm?s_cid=mm6623a3_w Serious Bacterial Infections Acquired During Treatment of Patients Given a Diagnosis of Chronic Lyme Disease — United States (Infections bactériennes graves acquises pendant le traitement de patients en raison du diagnostic de la maladie de Lyme chronique - États-Unis). Weekly / June 16, 2017 / 66(23);607–609.<br>Auteurs: Natalie S. Marzec, MD<sup>1</sup> ; Christina Nelson, MD<sup>2</sup> ; Paul Ravi Waldron, MD<sup>3</sup> ; Brian G. Blackburn, MD<sup>4</sup> ; Syed Hosain, MD <sup>5</sup>; Tara Greenhow, MD <sup>6</sup>; Gary M. Green, MD<sup>6</sup> ; Catherine Lomen-Hoerth, MD, PhD<sup>7</sup> ; Marjorie Golden, MD, PhD <sup>8</sup>; Paul S. Mead, MD<sup>2</sup>.<br>Les auteurs font partie de :<br><sup>1</sup>Preventive Medicine Residency, University of Colorado, Aurora, Colorado; <br><sup>2</sup>Division of Vector-Borne Diseases, National Center for Emerging and Zoonotic Infectious Diseases, CDC; <br><sup>3</sup>Kaiser Permanente, San Jose, California; <br><sup>4</sup>Division of Infectious Diseases and Geographic Medicine, Stanford University School of Medicine, Stanford, California; <br><sup>5</sup>LifeBridge Health, Westminster, Maryland; <br><sup>6</sup>Kaiser Permanente, Santa Rosa, California; <br><sup>7</sup>University of California, San Francisco, California; <br><sup>8</sup>Yale University School of Medicine, New Haven, Connecticut. |
| * https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1505425#t=articleTop "Randomized Trial of Longer-Term Therapy for Symptoms Attributed to Lyme Disease". Auteurs de l'étude: Anneleen Berende, M.D., Hadewych J.M. ter Hofstede, M.D., Ph.D., Fidel J. Vos, M.D., Ph.D., Henriët van Middendorp, Ph.D., Michiel L. Vogelaar, M.Sc., Mirjam Tromp, Ph.D., Frank H. van den Hoogen, M.D., Ph.D., A. Rogier T. Donders, Ph.D., Andrea W.M. Evers, Ph.D., and Bart Jan Kullberg, M.D., Ph.D.. Article publié le 31 mars 2016 dans le ''New England Journal of Medicine'' | | * https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1505425#t=articleTop "Randomized Trial of Longer-Term Therapy for Symptoms Attributed to Lyme Disease". Auteurs de l'étude: Anneleen Berende, M.D., Hadewych J.M. ter Hofstede, M.D., Ph.D., Fidel J. Vos, M.D., Ph.D., Henriët van Middendorp, Ph.D., Michiel L. Vogelaar, M.Sc., Mirjam Tromp, Ph.D., Frank H. van den Hoogen, M.D., Ph.D., A. Rogier T. Donders, Ph.D., Andrea W.M. Evers, Ph.D., and Bart Jan Kullberg, M.D., Ph.D.. Article publié le 31 mars 2016 dans le ''New England Journal of Medicine'' |