Un tel traitement ne serait théoriquement concevable que dans le cadre d'une étude clinique avec l'approbation d'un comité d'éthique, puisque le dioxyde de chlore n'est pas un médicament approuvé. Cependant, la concentration devrait alors être choisie très faible en raison des effets indésirables attendus. On ne sait toujours pas pourquoi le dioxyde de chlore fourni à l'organisme devrait endommager de manière sélective uniquement le virus, mais pas les cellules de l'organisme. Bien que Kalcker cite en néerlandais des résultats de tests sanguins de juillet 2017 et mentionne l'absorption de dioxyde de chlore par les patients, il ne cite pas d'étude clinique appropriée, de chercheurs menant l'étude ou d'inscription dans un registre d'études. La découverte du sang d'un "Ali" de 54 ans, en 2017, indique qu'il s'agit d'Ali Erhan <ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Ali_Erhan</ref>, un revendeur de [[MMS]] né en 1963. | Un tel traitement ne serait théoriquement concevable que dans le cadre d'une étude clinique avec l'approbation d'un comité d'éthique, puisque le dioxyde de chlore n'est pas un médicament approuvé. Cependant, la concentration devrait alors être choisie très faible en raison des effets indésirables attendus. On ne sait toujours pas pourquoi le dioxyde de chlore fourni à l'organisme devrait endommager de manière sélective uniquement le virus, mais pas les cellules de l'organisme. Bien que Kalcker cite en néerlandais des résultats de tests sanguins de juillet 2017 et mentionne l'absorption de dioxyde de chlore par les patients, il ne cite pas d'étude clinique appropriée, de chercheurs menant l'étude ou d'inscription dans un registre d'études. La découverte du sang d'un "Ali" de 54 ans, en 2017, indique qu'il s'agit d'Ali Erhan <ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Ali_Erhan</ref>, un revendeur de [[MMS]] né en 1963. |