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| * https://ccnmi.ca/publications/la-maladie-de-lyme-au-canada-le-point-sur-les-definitions-de-cas-et-les-traitements/ La [[maladie de Lyme]] au Canada : Le point sur les définitions de cas et les traitements. Auteur(s) : Simon Habegger. Publié en 2014 sur le site du Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI) | | * https://ccnmi.ca/publications/la-maladie-de-lyme-au-canada-le-point-sur-les-definitions-de-cas-et-les-traitements/ La [[maladie de Lyme]] au Canada : Le point sur les définitions de cas et les traitements. Auteur(s) : Simon Habegger. Publié en 2014 sur le site du Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI) |
| * https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/lyme.html Lyme Disease: Questionable Diagnosis and Treatment. Edward McSweegan, Ph.D.<br>L'article contient, entre autres, une liste de traitements pratiquées pour traiter la [[maladie de Lyme|maladie de lyme]] inefficaces ou même dangereux ([[Oxygénothérapie hyperbare|Hyperbaric Oxygen Therapy (HBOT)]], Colloidal Silver, Rife Machines, Dangerous Injections, Overuse of Intravenous Antibiotics), des fraudes de laboratoires d'analyse, ainsi que des cas d'actions juridiques et de sanctions ordinales contre des médecins ou des praticiens de santé déviants et précise les conséquences des pratiques de ces personnes: plusieurs décès sont mentionnés. "''En dépit des décès et des poursuites, le soutien aux LLMDs [Literate Lyme Medical Doctors] demeure fort parmi les groupes activistes, même si certains de ces médecins tentent d'étendre l'éventail des maladies qui peuvent être attribuées à B. burgdorferi et, par conséquent, traités avec des antibiotiques à long terme. Certaines de ces maladies incluent des maladies complexes ou dégénératives telles que l'autisme, la sclérose en plaques et la sclérose latérale amyotrophique.''" | | * https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/lyme.html Lyme Disease: Questionable Diagnosis and Treatment. Edward McSweegan, Ph.D.<br>L'article contient, entre autres, une liste de traitements pratiquées pour traiter la [[maladie de Lyme|maladie de lyme]] inefficaces ou même dangereux ([[Oxygénothérapie hyperbare|Hyperbaric Oxygen Therapy (HBOT)]], Colloidal Silver, Rife Machines, Dangerous Injections, Overuse of Intravenous Antibiotics), des fraudes de laboratoires d'analyse, ainsi que des cas d'actions juridiques et de sanctions ordinales contre des médecins ou des praticiens de santé déviants et précise les conséquences des pratiques de ces personnes: plusieurs décès sont mentionnés. "''En dépit des décès et des poursuites, le soutien aux LLMDs [Literate Lyme Medical Doctors] demeure fort parmi les groupes activistes, même si certains de ces médecins tentent d'étendre l'éventail des maladies qui peuvent être attribuées à B. burgdorferi et, par conséquent, traités avec des antibiotiques à long terme. Certaines de ces maladies incluent des maladies complexes ou dégénératives telles que l'autisme, la sclérose en plaques et la sclérose latérale amyotrophique.''" |
− | * http://www.maladie-lyme-traitements.com/traitements.html Une liste de traitements proposés inquiétante: 1) L'Argent Colloïdal : un antiseptique naturel à large spectre.<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Kolloidales_Silber</ref>. 2) [[Thérapie de Gerson|Gerson : une thérapie à base de jus frais bourrés d'anti-oxidants]]. 3) [[Oxygénothérapie hyperbare|HBOT : Hyperbaric Oxygen Therapy]]. 4) Machine Rife : un générateur d'ondes magnétiques<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Royal_Raymond_Rife</ref>. 5) TIC TOX : une solution herbale potente [qui était vendue par le pharmacien Bernard Christophe et qui est interdite n'ayant pas été testée]. 6) Vitamine C à haute dose en intraveineuse<ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11049799 Une femme de 30 ans est décédée du fait d'un grand thrombus septique de Candida parapsilosis situé à la pointe d'un cathéter de Groshong. Le cathéter avait été en place pendant 28 mois pour l'administration d'un cours de 27 mois de céfotaxime intraveineux pour un diagnostic non fondé de la [[maladie de Lyme chronique]].</ref>. 7) Antibiotiques, le traitement classique | + | * http://www.maladie-lyme-traitements.com/traitements.html Une liste de traitements proposés inquiétante: 1) L'[[Argent colloïdal]] : un antiseptique naturel à large spectre.<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Kolloidales_Silber</ref>. 2) [[Thérapie de Gerson|Gerson : une thérapie à base de jus frais bourrés d'anti-oxidants]]. 3) [[Oxygénothérapie hyperbare|HBOT : Hyperbaric Oxygen Therapy]]. 4) Machine Rife : un générateur d'ondes magnétiques<ref>https://www.psiram.com/ge/index.php/Royal_Raymond_Rife</ref>. 5) TIC TOX : une solution herbale potente [qui était vendue par le pharmacien Bernard Christophe et qui est interdite n'ayant pas été testée]. 6) Vitamine C à haute dose en intraveineuse<ref>https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11049799 Une femme de 30 ans est décédée du fait d'un grand thrombus septique de Candida parapsilosis situé à la pointe d'un cathéter de Groshong. Le cathéter avait été en place pendant 28 mois pour l'administration d'un cours de 27 mois de céfotaxime intraveineux pour un diagnostic non fondé de la [[maladie de Lyme chronique]].</ref>. 7) Antibiotiques, le traitement classique |
| * http://www.lymeblog.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1041 Stalking Dr. Steere Over Lyme Disease NY Times Magazine June 17, 2001 By DAVID GRANN. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde [Sterre est le chercheur qui a découvert et donné son nom à la [[maladie de Lyme]] puis a commencé à la traiter avec des antibiotiques]<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Allen_Steere</ref>, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la [[maladie de Lyme chronique]], une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient la [[maladie de Lyme]], mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics [conférences:exposés], tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas l'éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé [[Joseph Burrascano]] Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont joué délibérément sur la gravité de la [[maladie de Lyme chronique]]. [...] | | * http://www.lymeblog.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1041 Stalking Dr. Steere Over Lyme Disease NY Times Magazine June 17, 2001 By DAVID GRANN. Article "Harcèlement du Dr. Steere" dans le New-York Time.<br>L'an dernier, le Dr Allen Steere, l'un des plus renommés chercheurs médicaux et rhumatologues du monde [Sterre est le chercheur qui a découvert et donné son nom à la [[maladie de Lyme]] puis a commencé à la traiter avec des antibiotiques]<ref>https://en.wikipedia.org/wiki/Allen_Steere</ref>, a commencé à craindre les patients. Ce n'était pas tant ceux qu'il avait traités, bien qu'il a parfois eu à se soucier d'eux également, mais ceux qui avaient commencé à appeler son bureau, le menaçant en prétendant qu'il était responsable de leurs souffrances. Ils insistaient [arguant] qu'il leur refusait un traitement pour une forme aiguë de la [[maladie de Lyme chronique]], une forme de l'infection d'ordinaire plus modérée, qu'ils croyaient s'être glissée dans le sang sans y être détectée et qui y reste pendant des années ce qui provoque douleurs articulaires, fatigue chronique, dépression suicidaire, paralysie et même la mort. Affirmant leurs diagnostics, il y avait un nombre croissant de patients, de groupes de défense/plaidoyer, de praticiens et de psychiatres qui ont fait valoir que la maladie était devenue une épidémie à grande échelle, un fléau des temps modernes invalidant des milliers d'Américains.<br> En tant que l'un des experts les plus éminents du monde sur la maladie, Steere ne croyait pas que beaucoup d'entre eux aient la [[maladie de Lyme]], mais quelque chose d'autre - fatigue chronique ou maladie mentale ou fibromyalgie - et il avait refusé de les traiter avec des antibiotiques. De nombreux médecins et compagnies d'assurance avaient suivi son exemple et, par conséquent, des hordes de patients ont commencé à le harceler. Ils se sont présentés à ses engagements publics [conférences:exposés], tenant des panneaux qui disaient "Combien de personnes de plus tuerez-vous ?" Et "Évitez Steere!" Ils l'ont dépeint dans les médias comme un démon, pire que les spirochètes, la bactérie des tiques, dont ils prétendaient qu'elle habitait dans leurs corps et que, à cause de son diagnostic restrictif, ils ne pouvaient pas l'éliminer. [...]<br>En août 1993, le Comité sénatorial Travail et ressources humaines a demandé à Steere de discuter de ses résultats avec d'autres experts en ce domaine. L'enjeu était la direction de millions de dollars fédéraux dans la recherche, les lignes directrices juridiques pour le traitement des patients et, aux yeux d'un nombre croissant de patients, leur survie même.<br>Quand Steere arriva, la galerie était déjà remplie de spectateurs, dont beaucoup portaient des rubans verts pour indiquer leur solidarité avec les patients de Lyme. Leur attention semblait centrée sur un pratiquant peu connu de Long Island nommé [[Joseph Burrascano]] Jr. Contrairement à Steere, il n'avait jamais fait de recherche scientifique, mais il a informé le Comité qu'il avait vu plus de 1000 patients de Lyme et que son protocole avait été traduit en trois langues.<br>Comme Steere le regardait, le jeune médecin commença une tirade contre l'établissement médical. Il avertit que de nombreux chercheurs ont joué délibérément sur la gravité de la [[maladie de Lyme chronique]]. [...] |
| * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease. Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011 | | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4489928/ Antiscience and ethical concerns associated with advocacy of Lyme disease. Paul G Auwaerter, MD, Johan S Bakken, MD, PhD, Prof Raymond J Dattwyler, MD, Prof J Stephen Dumler, MD, Prof John J Halperin, MD, Edward McSweegan, MD, Prof Robert B Nadelman, MD, Susan O’Connell, MD, Prof Eugene D Shapiro, MD, Prof Sunil K Sood, MD, Prof Allen C Steere, MD, Prof Arthur Weinstein, MD, and Prof Gary P Wormser, MD Published: September 2011 |
| * http://sci.tech-archive.net/Archive/sci.med.diseases.lyme/2008-01/msg00210.html Updating the Rogues Gallery of LLMDs. 26 Jan 2008. [...]<br>April 23, 2002. Dr. [[Joseph Burrascano]], following hearing before the New York State OPMC on his medical treatments of Lyme patients, was placed on probation with a practice monitor.<br>2001. Dr. Richard Horowitz, who had been in hearings with the NYS OPMC since the spring of 2001, was offered a settlement consisting of three months suspension. | | * http://sci.tech-archive.net/Archive/sci.med.diseases.lyme/2008-01/msg00210.html Updating the Rogues Gallery of LLMDs. 26 Jan 2008. [...]<br>April 23, 2002. Dr. [[Joseph Burrascano]], following hearing before the New York State OPMC on his medical treatments of Lyme patients, was placed on probation with a practice monitor.<br>2001. Dr. Richard Horowitz, who had been in hearings with the NYS OPMC since the spring of 2001, was offered a settlement consisting of three months suspension. |
| * http://www.filariane.org/uploads/pathologies/protocole-horowitz.pdf Le protocole Horowitz. Une présentation Power-Point sur le site web de l'association Ariane de [[Corinne Skorupka]] montre qu'il fait appel pour les analyses à divers laboratoires qui tous figurent sur la liste des instituts qui effectuent des tests de laboratoire non standards. Cette liste a été publiée par Stephen Barrett sur le site web Quackwatch <ref>https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/Tests/nonstandard.html</ref>. | | * http://www.filariane.org/uploads/pathologies/protocole-horowitz.pdf Le protocole Horowitz. Une présentation Power-Point sur le site web de l'association Ariane de [[Corinne Skorupka]] montre qu'il fait appel pour les analyses à divers laboratoires qui tous figurent sur la liste des instituts qui effectuent des tests de laboratoire non standards. Cette liste a été publiée par Stephen Barrett sur le site web Quackwatch <ref>https://www.quackwatch.org/01QuackeryRelatedTopics/Tests/nonstandard.html</ref>. |
| + | * https://www.justice.gov/opa/pr/testing-laboratory-agrees-pay-43-million-resolve-allegations-medically-unnecessary-tests NOUVELLES DE LA JUSTICE. Département de la Justice.Bureau des affaires publiques. POUR DIFFUSION IMMÉDIATE. Lundi 27 avril 2020.<br><br>[traduction DeepL:] '''Le laboratoire de tests accepte de payer jusqu'à 43 millions de dollars pour résoudre les allégations de tests médicalement inutiles'''<br><br>Genova Diagnostics Inc, une société de services de laboratoire clinique basée à Asheville, en Caroline du Nord, a accepté de verser jusqu'à environ 43 millions de dollars pour résoudre les allégations selon lesquelles elle aurait violé la loi sur les fausses demandes d'indemnisation, y compris les allégations selon lesquelles elle aurait facturé des tests de laboratoire médicalement inutiles, a annoncé aujourd'hui le ministère de la Justice.<br><br>"Les programmes de soins de santé du gouvernement sont conçus pour fournir aux bénéficiaires des soins qui sont médicalement raisonnables et nécessaires", a déclaré le procureur général adjoint Jody Hunt de la division civile du ministère de la Justice. "Les prestataires de services de santé fédéraux financés par les contribuables seront tenus responsables lorsqu'ils feront sciemment de fausses demandes de remboursement pour des services qui ne répondent pas à cette norme de soins".<br><br>"La loi sur les fausses demandes de remboursement est un outil juridique important dans notre lutte rigoureuse pour protéger l'intégrité de notre système de santé contre des prestataires comme Genova Diagnostics, qui facturent des programmes gouvernementaux pour des tests non couverts afin d'augmenter les profits au détriment de l'argent du contribuable", a déclaré Andrew Murray, procureur américain du district ouest de Caroline du Nord. "Ce bureau a pour mission de s'assurer que les prestataires de soins de santé du district ouest prennent des décisions médicales qui profitent à leurs patients et non aux résultats des prestataires".<br><br>Le règlement résout les allégations selon lesquelles Genova : (a) a soumis de façon incorrecte des réclamations à Medicare, TRICARE, et au programme de santé des employés fédéraux pour ses profils de tests de laboratoire sur les allergènes IgG, NutrEval et les effets GI parce que les tests n'étaient pas médicalement nécessaires, (b) s'est livrée à des techniques de facturation inappropriées, et (c) a payé des compensations à trois vendeurs de phlébotomies qui ont violé l'interdiction d'auto-référence des médecins communément appelée la loi Stark. La loi Stark vise à garantir que les recommandations de médecins sont déterminées par les besoins médicaux des patients et non par les intérêts financiers des médecins.<br><br>Dans le cadre de l'accord, Genova a accepté de payer environ 17 millions de dollars, par la remise des fonds des demandes d'indemnisation détenus en suspension par Medicare et TRICARE, plus 26 millions de dollars supplémentaires si certaines éventualités financières surviennent au cours des cinq prochaines années, pour un paiement potentiel total pouvant atteindre 43 millions de dollars.<br><br>Parallèlement au règlement civil, Genova a conclu un accord d'intégrité corporative (CIA) de cinq ans avec le Bureau de l'Inspecteur général du Département de la santé et des services sociaux. Le CIA exige, entre autres, que Genova établisse et maintienne un programme de conformité avec des exigences spécifiques et qu'elle engage un organisme d'examen indépendant.<br><br>"Les laboratoires sont censés facturer les services médicalement nécessaires aux programmes de santé fédéraux financés par les contribuables, et non pas gonfler leurs résultats comme le prétend le gouvernement dans cette affaire", a déclaré Derrick L. Jackson, agent spécial responsable du Bureau de l'inspecteur général du ministère américain de la santé et des services sociaux. "Nous continuerons à travailler avec nos partenaires des forces de l'ordre pour sauvegarder ces programmes vitaux". [...]<br><br>[Commentaire de Psiram.com : Genova Diagnostics est l'un des laboratoires de test qu'utilise Richard Horowitz. Voir ci-dessus le paragraphe "Les laboratoires auxquels Horowitz fait appel et les traitements qu'il préconise".] |
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| {{OtherLang|ge=Richard Horowitz}} | | {{OtherLang|ge=Richard Horowitz}} |