| "'''Nagalase'''<br>Cette enzyme, l'alpha-N-acéthylgalactoaminidase, est un marqueur viral de l'immunodéficience acquise. Elle inhibe une protéine, la [[GcMAF|Gcmaf]], impliquée dans l'activation des macrophages. L'augmentation du taux de nagalase est généralement associée au développement de diverses tumeurs malignes, de troubles immunitaires et d'infections virales.<br>Le Dr [[Jeff Bradstreet]], directeur du Centre de Ressources sur le Développement de l'enfant de Melbourne, en Floride, a eu l'idée de doser cette enzyme chez les jeunes autistes. 1 500 enfants ont été testés à ce jour, et les résultats concordants montrent une augmentation significative du taux de nagalase dans près de 80% des cas. Cette activité n'étant liée ni au sida ni à un cancer, elle a clairement une origine inflammatoire bactérienne ou virale." | | "'''Nagalase'''<br>Cette enzyme, l'alpha-N-acéthylgalactoaminidase, est un marqueur viral de l'immunodéficience acquise. Elle inhibe une protéine, la [[GcMAF|Gcmaf]], impliquée dans l'activation des macrophages. L'augmentation du taux de nagalase est généralement associée au développement de diverses tumeurs malignes, de troubles immunitaires et d'infections virales.<br>Le Dr [[Jeff Bradstreet]], directeur du Centre de Ressources sur le Développement de l'enfant de Melbourne, en Floride, a eu l'idée de doser cette enzyme chez les jeunes autistes. 1 500 enfants ont été testés à ce jour, et les résultats concordants montrent une augmentation significative du taux de nagalase dans près de 80% des cas. Cette activité n'étant liée ni au sida ni à un cancer, elle a clairement une origine inflammatoire bactérienne ou virale." |
− | "[...] [les pages précédentes ne font pas partie de celles consultablesl]<br>On y remédie dans un premier temps par un apport en vitamine B3 et en [[GcMAF]] de synthèse, souvent en association avec des antibiotiques.<br>Tous les médecins qui utilisent le [[GcMAF]] ont des résultats identiques à ceux du Dr [[Jeff Bradstreet|Jeffrey Bradstreet]]. Dans 85% des cas, si la cause est infectieuse, les enfants répondent bien au traitement. Dans 15% des cas, si la cause est uniquement infectieuse, ils guérissent.<br>En rêgle générale, le traitement commence à produire ses effets au bout de cinq semaines. Faute de résultats après 16 semaines, mieux vaut l'abandonner, mais, dans le cas contraire, il faut le poursuivre pendant 24 semaines au moins, et plus si possible pour éviter les rechutes.<br>[[image:GcMAFSkorupka.JPG|Source: capture d'écran sur le livre "Autisme - On peut en guérir" de Corinne Skorupka et [[Lorène Amet]]<ref name='livreSA'></ref>|500px|right|thumb]]Le [[GcMAF]] restaure tout simplement le système immunitaire et le protège contre les infections qui causent l'autisme. En ce qui nous concerne, nous commençons par en administrer des doses de 0,01 ml ou 0,02 ml, en augmentant progressivement, et le plus vite possible, pour atteindre la dose hebdomadaire de 0,1 ml. Parallèlement, il faut enrichir la part des lipides dans l'alimentation. La supplémentation en vitamine D3 démarre à la 9e semaine.<br>Le [[GcMAF]] offre peut-être la clef du traitement des infections chroniques et, à terme, il permettra sans doute de diminuer la durée de l'antibiothérapie. A l'heure actuelle, le protocole préconise de donner des antibiotiques pendant trois mois avant le démarrage du [[GcMAF]] (car un de ses effets secondaires est la réaction d'Herxheimer).<br>Deux médecins italiens, les Dr [[Nicola Antonucci]] (Bari) et [[Dario Siniscalco]] [en fait, Siniscalco n'est pas médecin mais chimiste et pharmacologue], ont rédigé ce compte rendu à partir de leurs observations: <br>:''"Pendant six mois, j'ai rassemblé des rapports à partir des notes de 94 familles qui ont essayé [[GcMAF]] sur leurs enfants touchés par l'autisme, et les résultats semblent être très encourageants. L'âge des enfants varie entre 3 à 15 ans (sauf un qui avait 21 ans). 83 familles ont rapporté des améliorations significatives, 7 n'ont pas remarqué de changement, 4 ont fait part d'effets secondaires.''<br>[...] [les pages suivantes ne font pas partie de celles consultables]. | + | "[...] [les pages précédentes ne font pas partie de celles consultablesl]<br>On y remédie dans un premier temps par un apport en vitamine B3 et en [[GcMAF]] de synthèse, souvent en association avec des antibiotiques.<br>Tous les médecins qui utilisent le [[GcMAF]] ont des résultats identiques à ceux du Dr [[Jeff Bradstreet|Jeffrey Bradstreet]]. Dans 85% des cas, si la cause est infectieuse, les enfants répondent bien au traitement. Dans 15% des cas, si la cause est uniquement infectieuse, ils guérissent.<br>En rêgle générale, le traitement commence à produire ses effets au bout de cinq semaines. Faute de résultats après 16 semaines, mieux vaut l'abandonner, mais, dans le cas contraire, il faut le poursuivre pendant 24 semaines au moins, et plus si possible pour éviter les rechutes.<br>[[image:GcMAFSkorupka.JPG|Source: capture d'écran sur les pages consultables par le public du livre "Autisme - On peut en guérir" de Corinne Skorupka et [[Lorène Amet]]<ref name='livreSA'></ref>|500px|right|thumb]]Le [[GcMAF]] restaure tout simplement le système immunitaire et le protège contre les infections qui causent l'autisme. En ce qui nous concerne, nous commençons par en administrer des doses de 0,01 ml ou 0,02 ml, en augmentant progressivement, et le plus vite possible, pour atteindre la dose hebdomadaire de 0,1 ml. Parallèlement, il faut enrichir la part des lipides dans l'alimentation. La supplémentation en vitamine D3 démarre à la 9e semaine.<br>Le [[GcMAF]] offre peut-être la clef du traitement des infections chroniques et, à terme, il permettra sans doute de diminuer la durée de l'antibiothérapie. A l'heure actuelle, le protocole préconise de donner des antibiotiques pendant trois mois avant le démarrage du [[GcMAF]] (car un de ses effets secondaires est la réaction d'Herxheimer).<br>Deux médecins italiens, les Dr [[Nicola Antonucci]] (Bari) et [[Dario Siniscalco]] [en fait, Siniscalco n'est pas médecin mais chimiste et pharmacologue], ont rédigé ce compte rendu à partir de leurs observations: <br>:''"Pendant six mois, j'ai rassemblé des rapports à partir des notes de 94 familles qui ont essayé [[GcMAF]] sur leurs enfants touchés par l'autisme, et les résultats semblent être très encourageants. L'âge des enfants varie entre 3 à 15 ans (sauf un qui avait 21 ans). 83 familles ont rapporté des améliorations significatives, 7 n'ont pas remarqué de changement, 4 ont fait part d'effets secondaires.''<br>[...] [les pages suivantes ne font pas partie de celles consultables]. |
| "'''La transplantation de cellules souches neuronales'''<br>En sachant toutefois qu'elle n'est pratiquée que dans une clinique de Kiev en Ukraine. Les cellules souches neuronales ont la capacité de migrer du flux sanguin au cerveau où elles sont capables d'accomplir des activités de réparation. S'il est encore difficile de savoir jusqu'où peut aller cette restauration, dans les cas en matière d'autisme, les rapports médicaux des premiers patients traités dans cette clinique sont encourageants.<br>Le traitement par les cellules souches visent en premier lieu à stimuler le développement du cerveau, pour permettre ensuite à l'enfant de progresser de lui-même. Cette thérapie représente un immense espoir pour le traitement de l'autisme, mais elle est encore très chère (environ 15 000 euros) et le fait qu'elle ne soit dispensée qu'à Kiev explique que très peu de familles françaises n'y aient recours." | | "'''La transplantation de cellules souches neuronales'''<br>En sachant toutefois qu'elle n'est pratiquée que dans une clinique de Kiev en Ukraine. Les cellules souches neuronales ont la capacité de migrer du flux sanguin au cerveau où elles sont capables d'accomplir des activités de réparation. S'il est encore difficile de savoir jusqu'où peut aller cette restauration, dans les cas en matière d'autisme, les rapports médicaux des premiers patients traités dans cette clinique sont encourageants.<br>Le traitement par les cellules souches visent en premier lieu à stimuler le développement du cerveau, pour permettre ensuite à l'enfant de progresser de lui-même. Cette thérapie représente un immense espoir pour le traitement de l'autisme, mais elle est encore très chère (environ 15 000 euros) et le fait qu'elle ne soit dispensée qu'à Kiev explique que très peu de familles françaises n'y aient recours." |