| * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6023324/ Persistent Borrelia Infection in Patients with Ongoing Symptoms of Lyme Disease. Publié dans Healthcare (Basel) en juin 2018.<br>Marianne J. Middelveen,<sup>1</sup> Eva Sapi,<sup>2</sup> Jennie Burke,<sup>3</sup> Katherine R. Filush,<sup>2</sup> Agustin Franco,<sup>4</sup> Melissa C. Fesler,<sup>5</sup> and Raphael B. Stricker<sup>5</sup>,*. Publié en ligne dans Healthcare (Basel) en juin 2018<br>Author information<br>1 Atkins Veterinary Services, Calgary, AB T3B 4C9, Canada; ten.sulet@leddim<br>2 Department of Biology and Environmental Science, University of New Haven, West Haven, CT 06516, USA; ten.ipasave@hnu (E.S.); moc.liamg@hsulif.r.enirehtak (K.R.F.)<br>3 Australian Biologics, Sydney, NSW 2000, Australia; ua.moc.scigoloibnailartsua@ekrub.einneJ<br>4 School of Health Sciences, Universidad Catolica Santiago de Guayaquil, Guayaquil 090615, Ecuador; ua.moc.tensutpo@ocnarf.nitsuga<br><sup>5</sup> Union Square Medical Associates, 450 Sutter Street, Suite 1504, San Francisco, CA 94108, USA; moc.liamg@relsefcassilem<br>Correspondence: moc.demamsu@rekcirtsr | | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6023324/ Persistent Borrelia Infection in Patients with Ongoing Symptoms of Lyme Disease. Publié dans Healthcare (Basel) en juin 2018.<br>Marianne J. Middelveen,<sup>1</sup> Eva Sapi,<sup>2</sup> Jennie Burke,<sup>3</sup> Katherine R. Filush,<sup>2</sup> Agustin Franco,<sup>4</sup> Melissa C. Fesler,<sup>5</sup> and Raphael B. Stricker<sup>5</sup>,*. Publié en ligne dans Healthcare (Basel) en juin 2018<br>Author information<br>1 Atkins Veterinary Services, Calgary, AB T3B 4C9, Canada; ten.sulet@leddim<br>2 Department of Biology and Environmental Science, University of New Haven, West Haven, CT 06516, USA; ten.ipasave@hnu (E.S.); moc.liamg@hsulif.r.enirehtak (K.R.F.)<br>3 Australian Biologics, Sydney, NSW 2000, Australia; ua.moc.scigoloibnailartsua@ekrub.einneJ<br>4 School of Health Sciences, Universidad Catolica Santiago de Guayaquil, Guayaquil 090615, Ecuador; ua.moc.tensutpo@ocnarf.nitsuga<br><sup>5</sup> Union Square Medical Associates, 450 Sutter Street, Suite 1504, San Francisco, CA 94108, USA; moc.liamg@relsefcassilem<br>Correspondence: moc.demamsu@rekcirtsr |
| * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6498767/ Erosive Vulvovaginitis Associated With ''Borrelia burgdorferi'' Infection.<br>(Vulvovaginite érosive associée à une infection à ''Borrelia burgdorferi'')<br>Published online 2019 May<br>Melissa C. Fesler, FNP-BC,<sup>1,*</sup>, Marianne J. Middelveen, MDes,<sup>2,*</sup>, Jennie M. Burke, MSc (Hons),<sup>3</sup> and Raphael B. Stricker, MD<sup>1</sup>.<br>1 Union Square Medical Associates, San Francisco, Californie, États-Unis<br>2 Services vétérinaires Atkins, Calgary, Alberta, Canada<br>3 Australian Biologics, Sydney, Nouvelle-Galles du Sud, Australie<br>1 Raphael B. Stricker, MD, Union Square Medical Associates, 450 Sutter Street, Suite 1504, San Francisco, CA 94108, États-Unis. Email: moc.demamsu@rekcirtsr<br>* Ces auteurs ont également contribué à l'article.<br>Résumé<br>Nous décrivons un cas de vulvovaginite érosive aiguë accompagnant une infection à ''Borrelia burgdorferi''. La patiente est une femme de 57 ans qui a déjà reçu un diagnostic de [[maladie de Lyme]] et qui présentait une lésion érosive génitale douloureuse. Au moment de l'éclosion, elle était traitée avec des antibiotiques oraux et elle a été testée sérologiquement positive pour la ''B burgdorferi'' et sérologiquement négative pour la syphilis. L'examen histologique du tissu de biopsie de la lésion n'était pas caractéristique des modèles dermatopathologiques typiques des conditions vulvaires érosives. Des sections de biopsie tachées de dieterle ont révélé des spirochètes visibles dans toute la strate spinosum et la strate basale, et l'immunocoloration anti-''B burgdorferi'' était positive. Des spirochètes deotile ont été observés au microscope à fond noir et cultivés dans le milieu complet de Barbour-Stoner-Kelly inoculé avec des prélèvements de peau de la lésion. Les spirochètes cultivés ont été identifiés génétiquement comme étant des ''B burgdorferi sensu stricto'' par réaction en chaîne par polymérase, tandis que l'amplification par réaction en chaîne par polymérase des cibles tréponémiques était négative. L'affection s'est résorbée après un traitement par antibiotiques systémiques et antibiotiques topiques supplémentaires. Dans les cas d'ulcération génitale sans étiologie identifiable, il faut envisager la possibilité d'une infection à ''B. burgdorferi'' spirochetal. | | * https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6498767/ Erosive Vulvovaginitis Associated With ''Borrelia burgdorferi'' Infection.<br>(Vulvovaginite érosive associée à une infection à ''Borrelia burgdorferi'')<br>Published online 2019 May<br>Melissa C. Fesler, FNP-BC,<sup>1,*</sup>, Marianne J. Middelveen, MDes,<sup>2,*</sup>, Jennie M. Burke, MSc (Hons),<sup>3</sup> and Raphael B. Stricker, MD<sup>1</sup>.<br>1 Union Square Medical Associates, San Francisco, Californie, États-Unis<br>2 Services vétérinaires Atkins, Calgary, Alberta, Canada<br>3 Australian Biologics, Sydney, Nouvelle-Galles du Sud, Australie<br>1 Raphael B. Stricker, MD, Union Square Medical Associates, 450 Sutter Street, Suite 1504, San Francisco, CA 94108, États-Unis. Email: moc.demamsu@rekcirtsr<br>* Ces auteurs ont également contribué à l'article.<br>Résumé<br>Nous décrivons un cas de vulvovaginite érosive aiguë accompagnant une infection à ''Borrelia burgdorferi''. La patiente est une femme de 57 ans qui a déjà reçu un diagnostic de [[maladie de Lyme]] et qui présentait une lésion érosive génitale douloureuse. Au moment de l'éclosion, elle était traitée avec des antibiotiques oraux et elle a été testée sérologiquement positive pour la ''B burgdorferi'' et sérologiquement négative pour la syphilis. L'examen histologique du tissu de biopsie de la lésion n'était pas caractéristique des modèles dermatopathologiques typiques des conditions vulvaires érosives. Des sections de biopsie tachées de dieterle ont révélé des spirochètes visibles dans toute la strate spinosum et la strate basale, et l'immunocoloration anti-''B burgdorferi'' était positive. Des spirochètes deotile ont été observés au microscope à fond noir et cultivés dans le milieu complet de Barbour-Stoner-Kelly inoculé avec des prélèvements de peau de la lésion. Les spirochètes cultivés ont été identifiés génétiquement comme étant des ''B burgdorferi sensu stricto'' par réaction en chaîne par polymérase, tandis que l'amplification par réaction en chaîne par polymérase des cibles tréponémiques était négative. L'affection s'est résorbée après un traitement par antibiotiques systémiques et antibiotiques topiques supplémentaires. Dans les cas d'ulcération génitale sans étiologie identifiable, il faut envisager la possibilité d'une infection à ''B. burgdorferi'' spirochetal. |