− | En principe, quelques gouttes de sang sont prélevées sur le patient, puis observées qualitativement dans le champ sombre ou dans le contraste de phase du microscope optique. Souvent (mais pas toujours), l'examen microscopique est effectué après des heures ou des jours. La forme et la taille des composants sanguins et leur décomposition possible dans les conditions de l'examen sont décrites. Plusieurs des partisans de ces méthodes supposent que le sang serait colonisé par divers micro-organismes dont l'identification permettraient d'obtenir des informations sur les maladies. Le cadre de vie, ce que l'on appelle le milieu et ''un mode de vie et un régime alimentaire inadéquat'' contribueraient au fait que des pathogènes, c'est-à-dire des formes de ces micro-organismes postulés rendant malade, apparaîtraient avec une soi-disant tendance à l'augmentation dans le sens du concept du pléomorphisme<ref>https://www.psiram.com/de/index.php/</ref>Pleomorphismus réfuté du 19ème siècle. | + | En principe, quelques gouttes de sang sont prélevées sur le patient, puis observées qualitativement dans le champ sombre ou dans le contraste de phase du microscope optique. Souvent (mais pas toujours), l'examen microscopique est effectué après des heures ou des jours. La forme et la taille des composants sanguins et leur décomposition possible dans les conditions de l'examen sont décrites. Plusieurs des partisans de ces méthodes supposent que le sang serait colonisé par divers micro-organismes dont l'identification permettraient d'obtenir des informations sur les maladies. Le cadre de vie, ce que l'on appelle le milieu et ''un mode de vie et un régime alimentaire inadéquat'' contribueraient au fait que des pathogènes, c'est-à-dire des formes de ces micro-organismes postulés rendant malade, apparaîtraient avec une soi-disant tendance à l'augmentation dans le sens du concept du pléomorphisme<ref>https://www.psiram.com/de/index.php/Pleomorphismus</ref> réfuté du 19ème siècle. |