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Les partisans du GcMAF protestent: ''La MHRA a contacté la France, qui a arrêté David Halsall ; il est toujours dans une prison française sans espoir d'en sortir. Les Français ont alors émis un Mandat d'Arrêt Européen contre David Noakes et sa petite amie [Lyn Thyer], une scientifique biomédicale. S'ils sont extradés, ils seront eux aussi emprisonnés dans une prison française épouvantable pendant 2,4 ans en attendant leur procès. Il est âgé de 64 ans et souffre d'hypertension artérielle depuis 190/110, il est diabétique et ne s'en sortira probablement pas. Les prisons françaises et les droits de l'homme sont épouvantables. Et la MHRA n'aura pas à intenter de poursuites - une solution parfaite pour eux.<br>La MHRA a placé David dans un certain nombre de cellules, la dernière [dans la] prison de Wandsworth, ils l'ont libéré sous caution [...], avec des conditions strictes.
 
Les partisans du GcMAF protestent: ''La MHRA a contacté la France, qui a arrêté David Halsall ; il est toujours dans une prison française sans espoir d'en sortir. Les Français ont alors émis un Mandat d'Arrêt Européen contre David Noakes et sa petite amie [Lyn Thyer], une scientifique biomédicale. S'ils sont extradés, ils seront eux aussi emprisonnés dans une prison française épouvantable pendant 2,4 ans en attendant leur procès. Il est âgé de 64 ans et souffre d'hypertension artérielle depuis 190/110, il est diabétique et ne s'en sortira probablement pas. Les prisons françaises et les droits de l'homme sont épouvantables. Et la MHRA n'aura pas à intenter de poursuites - une solution parfaite pour eux.<br>La MHRA a placé David dans un certain nombre de cellules, la dernière [dans la] prison de Wandsworth, ils l'ont libéré sous caution [...], avec des conditions strictes.
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== Liens externes ==
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* https://www.lemonde.fr/sciences/article/2018/07/19/les-auteurs-d-un-trafic-de-faux-medicaments-juges-en-novembre_5333523_1650684.html Par Stéphane Foucart. Publié le 19 juillet 2018.<br>Le site Web de deux sociétés, Immuno Biotech et First Immune, affichait un onglet « notre science ». D’un clic, l’internaute pouvait accéder aux « preuves scientifiques » de l’efficacité de ses médicaments stars dont les principes actifs – le GcMAF et la Goleic – avaient été validés par une quarantaine de publications dans des revues savantes comme Frontiers in Human Neuroscience, Nutrients, Journal of Multiple Sclerosis, Integrative Cancer Science & Therapeutics, ou encore American Journal of Immunology… Maladie de Parkinson, cancer du sein ou du sang, tumeur cérébrale, sclérose en plaques ou syndrome de fatigue chronique : ces produits miracles pouvaient tout soigner. Il suffisait aux patients de les commander en ligne.<br><br>En novembre 2018, une demi-douzaine de ressortissants britanniques, responsables de ce commerce, seront jugés à Londres pour – entre autres – escroquerie, fabrication et vente illégales de produits pharmaceutiques. L’un des ateliers de fabrication de ces faux médicaments était installé dans un corps de ferme situé à Digosville, dans la Manche, et a été démantelé le 20 février 2017 par les enquêteurs de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp), ainsi que l’a révélé Le Parisien dans son édition du 25 février. Mais d’autres sites de production ont, depuis, été fermés en Allemagne, en Lituanie, aux Pays-Bas et en Espagne. Le site basé en Normandie avait, à lui seul, expédié plus de 5 000 colis dans toute l’Europe.<br><br>Faux témoignages de guérison<br>La stratégie de vente consistait à mettre en avant sur Facebook des faux témoignages de guérisons spectaculaires, mais aussi à proposer aux visiteurs des articles scientifiques ou des affiches de présentation de travaux de recherche, tous publiés dans de fausses revues ou supposément présentés à de fausses conférences. Les articles de recherche indiquant les résultats spectaculaires du GcMAF sur différentes maladies étaient signés par des chercheurs parfois introuvables dans les laboratoires et les universités auxquels ils étaient censés appartenir. Des fois, les escrocs incluaient leurs propres noms dans les listes de signataires de ces fausses études, s’affiliant à la société Macro Innovations Ltd.
    
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