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* http://www.ecolopedia.fr/?p=1337 [...] ''Michel de Pracontal, journaliste scientifique au Nouvel Obs, évoque aussi le financement de l’étude par deux géants de la grande distribution : «Séralini risque de se trouver dans la position de l’arroseur arrosé. Ses travaux ont été en partie financés par l’association Ceres, créée sous l’impulsion de Gérard Mulliez, le fondateur d’Auchan. Ceres rassemble plusieurs sociétés de la grande distribution, dont Auchan et Carrefour. Lesquels ont construit leur stratégie marketing, entre autres, sur la promotion de produits sans OGM…» ''
 
* http://www.ecolopedia.fr/?p=1337 [...] ''Michel de Pracontal, journaliste scientifique au Nouvel Obs, évoque aussi le financement de l’étude par deux géants de la grande distribution : «Séralini risque de se trouver dans la position de l’arroseur arrosé. Ses travaux ont été en partie financés par l’association Ceres, créée sous l’impulsion de Gérard Mulliez, le fondateur d’Auchan. Ceres rassemble plusieurs sociétés de la grande distribution, dont Auchan et Carrefour. Lesquels ont construit leur stratégie marketing, entre autres, sur la promotion de produits sans OGM…» ''
 
* http://sante2020.blog.lemonde.fr/2014/03/04/une-nouvelle-science-obscure-le-seranilisme-2/ Publié le 04 mars 2014, par Guy Vallancien, Chirurgien urologue, professeur à l'Université Paris Descartes, membre de l'Académie Nationale de Médecine et de l'Académie Nationale de Chirurgie, spécialiste en cancérologie [...] :<br>''"Mesnage, Séralini et al. viennent de publier une étude évaluant le danger de 9 pesticides sur des cellules embryonnaires de rein et d’hépatome humain. Grand moment de découverte qui a consisté toute simplement à mettre, en contact, in vitro, ces pesticides seuls puis avec leurs adjuvants afin d’analyser le comportement des cellules mises en culture.<br><br>Cette expérience est publiée dans une revue, Biomed international Research, http:// www.hindawi.com /journals/bmri/aip/179691/ dont l’impact factor brille de tous les feux: 2.8 ! Un niveau extrêmement faible comparé aux revues comme Nature et Sciences, qui planent au firmament des publications.<br><br>Gilles Eric Séralini a encore sévi. La presse s’est empressée de publier son communiqué, reproduit en copié-collé sans chercher un instant à en analyser la méthodologie ni attendre la vérification des résultats avant d’en tirer des conclusions honnêtes. Voilà une attitude extrêmement grave, dérive qui frôle la manipulation, oserais-je dire le délit? Le Séranilisme ou l’alchimie du malheur est né.<br><br>Le titre même de l’article, préfigure le résultat au lieu d’inviter au questionnement, principe de base élémentaire lors de toute recherche. « Major pesticides are more toxic to human cells than the declared actives principles ». Pourquoi lire la conclusion, puisqu’elle est préconçue. [...] <br><br>Vous trichez, Monsieur Séralini, oui vous trichez, en désinformant. Vous manipulez l’opinion en vous comportant en zélateur du pire des obscurantismes à la sauce statistique de bazar. [...]<br><br>C’est la recherche française toute entière qui est bafouée au travers de votre attitude partisane. Ce sont Pascal, Descartes, Pasteur, les Curie, Monot, Lwoff et Jacob, de Gennes, Barré Sinoussi, Hoffman et toute la lignée de nos savants qui sont atteints. Quel gâchis au seul profit de votre foi ! ''"
 
* http://sante2020.blog.lemonde.fr/2014/03/04/une-nouvelle-science-obscure-le-seranilisme-2/ Publié le 04 mars 2014, par Guy Vallancien, Chirurgien urologue, professeur à l'Université Paris Descartes, membre de l'Académie Nationale de Médecine et de l'Académie Nationale de Chirurgie, spécialiste en cancérologie [...] :<br>''"Mesnage, Séralini et al. viennent de publier une étude évaluant le danger de 9 pesticides sur des cellules embryonnaires de rein et d’hépatome humain. Grand moment de découverte qui a consisté toute simplement à mettre, en contact, in vitro, ces pesticides seuls puis avec leurs adjuvants afin d’analyser le comportement des cellules mises en culture.<br><br>Cette expérience est publiée dans une revue, Biomed international Research, http:// www.hindawi.com /journals/bmri/aip/179691/ dont l’impact factor brille de tous les feux: 2.8 ! Un niveau extrêmement faible comparé aux revues comme Nature et Sciences, qui planent au firmament des publications.<br><br>Gilles Eric Séralini a encore sévi. La presse s’est empressée de publier son communiqué, reproduit en copié-collé sans chercher un instant à en analyser la méthodologie ni attendre la vérification des résultats avant d’en tirer des conclusions honnêtes. Voilà une attitude extrêmement grave, dérive qui frôle la manipulation, oserais-je dire le délit? Le Séranilisme ou l’alchimie du malheur est né.<br><br>Le titre même de l’article, préfigure le résultat au lieu d’inviter au questionnement, principe de base élémentaire lors de toute recherche. « Major pesticides are more toxic to human cells than the declared actives principles ». Pourquoi lire la conclusion, puisqu’elle est préconçue. [...] <br><br>Vous trichez, Monsieur Séralini, oui vous trichez, en désinformant. Vous manipulez l’opinion en vous comportant en zélateur du pire des obscurantismes à la sauce statistique de bazar. [...]<br><br>C’est la recherche française toute entière qui est bafouée au travers de votre attitude partisane. Ce sont Pascal, Descartes, Pasteur, les Curie, Monot, Lwoff et Jacob, de Gennes, Barré Sinoussi, Hoffman et toute la lignée de nos savants qui sont atteints. Quel gâchis au seul profit de votre foi ! ''"
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* http://presse.inra.fr/Communiques-de-presse/Mais-OGM-MON-810-et-NK603-pas-d-effets-detectes-sur-la-sante-et-le-metabolisme-des-rats Communiqué de presse de l'INRA publié le 12/12/2018<br>Un régime alimentaire à base de maïs transgénique MON 810 ou NK603 n’affecte pas la santé et le métabolisme des rats dans les conditions du projet GMO 90+1. Cette étude inédite réalisée par un consortium de recherche piloté par l’Inra implique de nombreux partenaires2 dont l’Inserm. Les travaux ont été réalisés dans le cadre du programme Risk’OGM financé par le Ministère de la transition écologique et solidaire. Pendant six mois, des rats ont été nourris avec un régime contenant soit du maïs OGM (MON 810 ou NK603) soit du maïs non OGM, à différentes concentrations. Les chercheurs, par les techniques de biologie à haut débit, n’ont identifié aucun marqueur biologique significatif lié à l’alimentation au maïs transgénique. De même, ils n’ont observé aucune altération anatomo-pathologique du foie, des reins ou de l’appareil reproducteur des rats soumis aux régimes contenant ces OGM. Ces travaux, publiés le 10 décembre 2018 dans la revue Toxicological Sciences, ne mettent pas en évidence d’effet délétère lié à la consommation de ces deux maïs OGM chez le rat même pour de longues périodes d’exposition.
    
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