| '''9 février 2011.'''<br>KANSAS CITY, Kansas (AP) - Un médecin du Kansas a été condamné à une peine déjà accomplie [pendant l'instruction?] après avoir plaidé coupable de faire partie d'un stratagème pour vendre un faux système pour guérir la maladie de Lyme. Le procureur des États-Unis, Barry Grissom, a déclaré mercredi que John Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, avait également été condamné à deux ans de mise en liberté surveillée et a été condamné à une amende de 25 100 $. Toth a déjà purgé 26 mois de prison après avoir plaidé coupable pour les accusations [de l'état] d'homicide involontaire en 2007 après le décès d'un patient. Il a été libéré en 2010. Dans l'affaire fédérale, Toth a admis en octobre que lui et trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont déclaré pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils affirmaient/prétendaient pouvoir guérir la maladie. | | '''9 février 2011.'''<br>KANSAS CITY, Kansas (AP) - Un médecin du Kansas a été condamné à une peine déjà accomplie [pendant l'instruction?] après avoir plaidé coupable de faire partie d'un stratagème pour vendre un faux système pour guérir la maladie de Lyme. Le procureur des États-Unis, Barry Grissom, a déclaré mercredi que John Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, avait également été condamné à deux ans de mise en liberté surveillée et a été condamné à une amende de 25 100 $. Toth a déjà purgé 26 mois de prison après avoir plaidé coupable pour les accusations [de l'état] d'homicide involontaire en 2007 après le décès d'un patient. Il a été libéré en 2010. Dans l'affaire fédérale, Toth a admis en octobre que lui et trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont déclaré pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils affirmaient/prétendaient pouvoir guérir la maladie. |
− | '''26 octobre 2010.<br>Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont déclaré pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine. <ref>http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.<br>[...] Robert W. Bradford, 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.<br>Bradford admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. Bradford was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml</ref> | + | '''26 octobre 2010.<br>Le docteur qui offrait un faux remède contre la maladie de Lyme plaide'''<br>KANSAS CITY, Kan. (AP) - Un médecin du Kansas a plaidé coupable de faire partie d'un plan visant à vendre un système faux pour diagnostiquer et guérir la maladie de Lyme. Le procureur U.S. [U.S. Attorney] Barry Grissom dit que John R. Toth, âgé de 61 ans, de Topeka, a plaidé coupable lundi d'avoir participé à la fraude. Il a accepté de payer une amende de 30 000 $. La peine doit être prononcée le 18 janvier. Toth a admis que, à partir de septembre 2001, lui et les trois co-accusés ont commencé à vendre un microscope qu'ils ont déclaré pouvoir diagnostiquer la maladie de Lyme. Ils ont également promu un plan de traitement médicamenteux qu'ils prétendaient pouvoir guérir la maladie. Toth a facturé aux patients l'utilisation du microscope et les médicaments. Les autorités disent que les médicaments ont causé la mort d'un résident du Kansas et une insuffisance rénale chez un autre. Les trois co-accusés de Toth ont plaidé coupable et attendent le prononcé de la peine. Liens mis en référence:<ref>http://cjonline.com/news-state/2010-09-17/man-pleads-lyme-cure-fraud Article "Man pleads in Lyme cure fraud" Posted September 17, 2010. By Kevin Elliott.<br>[...] Robert W. Bradford, 79, of Chula Vista, Calif., pleaded guilty to conspiracy to commit mail fraud and to introduce misbranded drugs into interstate commerce.<br>Bradford admitted he and his co-defendants made more than $400,000 selling a microscope they claimed could be used to diagnose Lyme disease and a drug treatment plan they claimed could cure it. Bradford was founder of a company doing business as American Biologics, which distributed marketing materials calling Lyme disease the "Plague of the 21st Century" and claiming more than 50 percent of chronically ill people may be suffering from it. [...] The treatment, marketed as Bismacine, was found to be a solution of Bismuth citrate — a toxic metallic element. Those treatments were "manufactured in a make-shift laboratory" operated by American Biologics and included several chemicals that weren't certified or intended for use in food, drugs or cosmetics for humans or animals, according to the indictment. [...]</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml</ref><ref>http://www.casewatch.org/board/med/toth/consentorder.shtml John R. Toth, M.D., Agrees to Inactivate Medical License. Consent Order of December 12, 2005.<br>In April 2005, the Kansas Board of Healing Arts reprimanded John R. Toth, M.D., of Topeka, Kansas, for not timely responding to hospital pages. Two months later, the board issued an emergency suspension followed by an emergency order limiting his practice. The situation arose after two of his patients he treated with intravenous Bismacine were hospitalized with life-threatening complications. One whom he had treated for 11 years for Lyme disease, had kidney failure. The other's heart stopped beating in Toth's office. Two weeks later, the board concluded that the first patient had been misdiagnosed and that the bismuth product contained a toxic metal and lacked FDA approval. The hospital summarily suspended Toth's privileges, and the board issued an emergency order limiting what Toth could do.<br>In December 2005, Toth signed a consent agreement (shown below) under which he inactivated his license and cannot resume practice unless he undergoes remedial education and petitions the board for reactivation. He also agreed that if permitted to resume practice, he will (a) do so in a group setting, (b) refrain from diagnosing or treating Lyme disease without prior approval by an infectious disease specialist, (c) refrain from prescribing intravenous bismuth to any patient, (d) use only methods that are generally accepted by the medical community. In July 2006, the FDA issued a public warning not to use Bismacine (a/k/a Chromacine).<br>In 2008, Toth was sentenced to prison for manslaughter related to the patient who had died. In 2011, after having served 26 months in prison for the manslaughter case, he was sentenced to time served and some financial penalties on a federal charge of conspiring to commit mail fraud and introduce unapproved drugs and a misbranded medical device in interstate commerce.</ref>. |
| + | '''September 27, 2010.'''<br>'''Eastern Shore doctor faces probation over Lyme disease cases''' (Un docteur de la rive est <br>'''The Virginian-Pilot'''<br>Liens mis en références:<ref>http://hamptonroads.com/2010/09/eastern-shore-doctor-facesprobation-over-lyme-disease-cases?page=2</ref><ref>http://www.wvec.com/news/local/Norfolk-doctor-banned-fromprescribing-narcotics-103853589.html</ref><br>Un médecin sur la côte,connu pour traiter les personnes atteintes de la maladie de Lyme, a été mis en probation pour une durée illimitée par Conseil de médecine de l'état de Virginie et interdit à vie de prescrire des stupéfiants. Le Dr. Geoffrey Gubb, qui a un cabinet [médical] familial à Belle Haven, a été accusé par le Conseil d'avoir traité 15 patients avec des médicaments contre la douleur très puissants, tout en omettant de surveiller leur état ou de documenter correctement les diagnostics. Gubb, 73 ans, a jusqu'au 16 octobre pour faire appel à ce sujet. S'il ne le fait pas, le prononcé devient définitif ce jour-là. Dans un Interview, la semaine dernière, Gubb a déclaré qu'il avait décidé de fermer son cabinet [médical] familial à la fin du mois. Il a dit qu'il traite environ 800 patients, dont la plupart proviennent de Virginie, du Maryland et du Delaware. Environ 600 ont la maladie de Lyme, at-il dit, et beaucoup ont traversé le Chesapeake Bay Bridge-Tunnel de Hampton Roads pour obtenir un type de traitement qui La plupart des médecins refusent de prescrire parce que cela va à l'encontre Recommandations recommandées. Dans un entretien(une interview) la semaine dernière, Gubb a dit qu'il a décidé de fermer sa pratique(cabinet) familiale à la fin du mois. Il a dit qu'il traite environ 800 patients, la plupart de ce qui sont de Virginia(Virginie), le Maryland et le Delaware. Environ 600 d'entre eux ont la maladie Lyme, il a dit et beaucoup ont traversé le Chesapeake Bay Bridge-Tunnel de Hampton Roads pour obtenir un type de traitement que la plupart des docteurs refusent de prescrire parce qu'il va contre les lignes directives recommandées. |
| 24 janvier 2008. Atlanta Journal-Constitution. Un médecin de Stone Mountain, initialement accusé d'avoir injecté à ses patients du désherbant de qualité commerciale, a été condamné jeudi à cinq ans de probation pour fraude dans les soins de santé. Totada R. Shanthaveerappa, 73 ans, qui a été suspendu par la Commission des licences médicales de l'Etat après son inculpation en 2005, a traité des patients en phase terminale à sa clinique à Stockbridge. Il a plaidé coupable en octobre d'avoir fraudé des compagnies d'assurance de 650 000 $ en présentant des demandes fausses et trompeuses. Parmi les accusations initiales de Shanthaveerappa, il y avait d'avoir donné illégalement aux patients du Dinitrophénol (DNP), un tueur de mauvaises herbes et insecticide. Mais Shanthaveerappa ne n'a pas plaidé [coupable] pour cette accusation. Samuel a dit que le médecin a donné du DNP à cinq patients qui avaient reçu un diagnostic de maladie de Lyme. | | 24 janvier 2008. Atlanta Journal-Constitution. Un médecin de Stone Mountain, initialement accusé d'avoir injecté à ses patients du désherbant de qualité commerciale, a été condamné jeudi à cinq ans de probation pour fraude dans les soins de santé. Totada R. Shanthaveerappa, 73 ans, qui a été suspendu par la Commission des licences médicales de l'Etat après son inculpation en 2005, a traité des patients en phase terminale à sa clinique à Stockbridge. Il a plaidé coupable en octobre d'avoir fraudé des compagnies d'assurance de 650 000 $ en présentant des demandes fausses et trompeuses. Parmi les accusations initiales de Shanthaveerappa, il y avait d'avoir donné illégalement aux patients du Dinitrophénol (DNP), un tueur de mauvaises herbes et insecticide. Mais Shanthaveerappa ne n'a pas plaidé [coupable] pour cette accusation. Samuel a dit que le médecin a donné du DNP à cinq patients qui avaient reçu un diagnostic de maladie de Lyme. |