| “En effet, le problème qui se pose à l’homme dès qu’il réfléchit au sens de la vie est : D’où venons nous ? Qui sommes-nous ? Où allons nous ? Pouvons-nous, aujourd’hui, compte tenu de l’irruption de la physique quantique dans la biologie, de la reconnaissance des champs informationnels et surtout des extraordinaires travaux du mathématicien Emile Pinel, répondre “scientifiquement” à ces questions ? La réponse est oui. Il importe seulement d’avoir quelques connaissances en mathématique et en physique. Les biologistes doivent d’urgence revoir le programme de physique appris dans l’enseignement secondaire pour revenir à la physique classique qui nous situe dans un continuum d’espace-temps tramé dans les ondes électromagnétiques constituées de vibrations. David Böhm définit le cerveau comme “un hologramme qui analyse l’hologramme de l’Univers”. Nous savons aujourd’hui, grâce aux travaux du Biophysicien allemand [[Fritz-Albert Popp|D.A Popp]], que les cellules communiquent par des photons corrélés et que le système de réparation de l’A.D.N. Se fait dans l’ultraviolet. Cependant, l’information étant par nature immatérielle (…), le photon n’est pas un bon candidat au support de la pensée. [[Rupert Sheldrake|R. Sheldrake]] et tous les précurseurs depuis Gurwich en passant par E.Pinel l’ont abondamment démontré. Il faut donc trouver autre chose afin que le monde scientifique _ réductionniste par nature – accepte de changer de paradigme, donc de concepts. C’est ainsi que des chercheurs dont L.Kervran ont été amenés à envisager que ce rôle pourrait être tenu par une particule énigmatique, sans charge ni masse pour l’instant, le neutrino. L’hypothèse est séduisante puisque les photons sont toujours décrits comme accompagnés de neutrinos. L’analyse fine de la lumière, photon par photon, permet de mesurer d’un côté, l’énergie du photon, de l’autre, la présence d’une onde vide capable, par ailleurs, d’effets matériels.<br><br>Les expérimentateurs précisent que le cerveau est sensible à ces ondes d’espace. Il nous reste à aborder le problème de la manière dont ces informations viennent structure la matière et lui donner sa cohérence. Ces ondes vides ou d’espace sont capables d’utiliser la propriété essentielle du vivant à savoir la piézo-électricité… C’est ainsi que se constituent les limites des formes, autrement dit les membranes constituées de polarités + et – ; nous savons que la piézo-électricité est la première propriété du vivant à disparaître au moment de la mort. Puisque le cerveau est sensible à ces ondes, les neurones (cellules cérébrales) transforment la vibration en courant électrique par l’intermédiaire du centriole sorte de centrale énergétique – mémoire relais des médecins quantique – à l’origine de l’énergie cinétique de la cellule (E.Pinel). Dans cette approche, le cerveau est un transcodeur, il permet l’entrée de la pensée dans la matière, justifiant ainsi au passage, les théories de [[Hamer]] et la présence de “fusibles” capables de sauter ou de perturber l’énergie (support de l’information) d’un psychisme perturbé par une information déstructurante. Compte tenu de tout ce qui précède, nous ne sommes pas ce que nous croyons. Nous devons cesser de nous identifier au corps matériel qui est seulement le résultat de la manifestation d’un champ complexe contenant tous nos concepts donc notre psychisme”.<br><br>La première manifestation matérielle est la particule. “Dans cette nouvelle sorte de physique, il n’y a pas de place à la fois pour le champ et la matière, car le champ est la seule réalité ». Albert Einstein.<br><br>Elle est toujours accompagnée d’une onde appelée onde psi qui renseigne sans arrêt la particule – et donc le champ qui lui est associé – de l’état énergétique – donc informationnel – de son environnement. Ceci est à l’origine des différentes lois de la physique (théorème de Bell, théorie du Boostrap de Chew, hologramme de l’univers) et surtout l’apparition d’une nouvelle vision du monde dans laquelle tout est inter-relié et où « on ne peut cueillir une fleur sans ébranler une étoile ou encore : le battement d’aile d’un papillon peut déclencher un cyclone ! » Cette analyse doit nous conduire à la démonstration que la mort n’existe pas. Elle consiste seulement à la disparition de notre corps physique et permet à l’entité de faire le point sur ses différents concepts, ses acquis et ses erreurs et de survivre dans un champ de lumière démontré par [[Fritz-Albert Popp|F.A Popp]] dans l’attente d’une nouvelle incarnation pour continuer son évolution. Nous devons absolument partir des travaux d’Emile Pinel parfaitement résumés par un excellent article du physicien Serge Nahon que vous pouvez consulter sur Internet.<br><br>Je me contenterai de citer les conclusions de Serge Nahon : « Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magnétique, pourtant ils agissent sur nous.<br><br>Mais le plus curieux est qu’à la mort de l’individu, les équations indiquent que deux de ces champs « meurent » mais pas le troisième. C’est pourquoi nous disons que les champs H1 et H2 « meurent ». Mais le champ H3 ne « meurt » pas, c’est sa variation en fonction du temps qui meurt. Autrement dit, à la mort de l’individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Emile Pinel sur les malades qu’il a soignés.<br><br>Toute incarnation implique une mort inéluctable de la forme physique, mais implique également une survivance au niveau du champ de forme contenant les impondérables, donc le psychisme. Notre liberté réside dans la maîtrise de ce que nous acceptons de croire donc du contenu immatériel de notre psychisme ». | | “En effet, le problème qui se pose à l’homme dès qu’il réfléchit au sens de la vie est : D’où venons nous ? Qui sommes-nous ? Où allons nous ? Pouvons-nous, aujourd’hui, compte tenu de l’irruption de la physique quantique dans la biologie, de la reconnaissance des champs informationnels et surtout des extraordinaires travaux du mathématicien Emile Pinel, répondre “scientifiquement” à ces questions ? La réponse est oui. Il importe seulement d’avoir quelques connaissances en mathématique et en physique. Les biologistes doivent d’urgence revoir le programme de physique appris dans l’enseignement secondaire pour revenir à la physique classique qui nous situe dans un continuum d’espace-temps tramé dans les ondes électromagnétiques constituées de vibrations. David Böhm définit le cerveau comme “un hologramme qui analyse l’hologramme de l’Univers”. Nous savons aujourd’hui, grâce aux travaux du Biophysicien allemand [[Fritz-Albert Popp|D.A Popp]], que les cellules communiquent par des photons corrélés et que le système de réparation de l’A.D.N. Se fait dans l’ultraviolet. Cependant, l’information étant par nature immatérielle (…), le photon n’est pas un bon candidat au support de la pensée. [[Rupert Sheldrake|R. Sheldrake]] et tous les précurseurs depuis Gurwich en passant par E.Pinel l’ont abondamment démontré. Il faut donc trouver autre chose afin que le monde scientifique _ réductionniste par nature – accepte de changer de paradigme, donc de concepts. C’est ainsi que des chercheurs dont L.Kervran ont été amenés à envisager que ce rôle pourrait être tenu par une particule énigmatique, sans charge ni masse pour l’instant, le neutrino. L’hypothèse est séduisante puisque les photons sont toujours décrits comme accompagnés de neutrinos. L’analyse fine de la lumière, photon par photon, permet de mesurer d’un côté, l’énergie du photon, de l’autre, la présence d’une onde vide capable, par ailleurs, d’effets matériels.<br><br>Les expérimentateurs précisent que le cerveau est sensible à ces ondes d’espace. Il nous reste à aborder le problème de la manière dont ces informations viennent structure la matière et lui donner sa cohérence. Ces ondes vides ou d’espace sont capables d’utiliser la propriété essentielle du vivant à savoir la piézo-électricité… C’est ainsi que se constituent les limites des formes, autrement dit les membranes constituées de polarités + et – ; nous savons que la piézo-électricité est la première propriété du vivant à disparaître au moment de la mort. Puisque le cerveau est sensible à ces ondes, les neurones (cellules cérébrales) transforment la vibration en courant électrique par l’intermédiaire du centriole sorte de centrale énergétique – mémoire relais des médecins quantique – à l’origine de l’énergie cinétique de la cellule (E.Pinel). Dans cette approche, le cerveau est un transcodeur, il permet l’entrée de la pensée dans la matière, justifiant ainsi au passage, les théories de [[Hamer]] et la présence de “fusibles” capables de sauter ou de perturber l’énergie (support de l’information) d’un psychisme perturbé par une information déstructurante. Compte tenu de tout ce qui précède, nous ne sommes pas ce que nous croyons. Nous devons cesser de nous identifier au corps matériel qui est seulement le résultat de la manifestation d’un champ complexe contenant tous nos concepts donc notre psychisme”.<br><br>La première manifestation matérielle est la particule. “Dans cette nouvelle sorte de physique, il n’y a pas de place à la fois pour le champ et la matière, car le champ est la seule réalité ». Albert Einstein.<br><br>Elle est toujours accompagnée d’une onde appelée onde psi qui renseigne sans arrêt la particule – et donc le champ qui lui est associé – de l’état énergétique – donc informationnel – de son environnement. Ceci est à l’origine des différentes lois de la physique (théorème de Bell, théorie du Boostrap de Chew, hologramme de l’univers) et surtout l’apparition d’une nouvelle vision du monde dans laquelle tout est inter-relié et où « on ne peut cueillir une fleur sans ébranler une étoile ou encore : le battement d’aile d’un papillon peut déclencher un cyclone ! » Cette analyse doit nous conduire à la démonstration que la mort n’existe pas. Elle consiste seulement à la disparition de notre corps physique et permet à l’entité de faire le point sur ses différents concepts, ses acquis et ses erreurs et de survivre dans un champ de lumière démontré par [[Fritz-Albert Popp|F.A Popp]] dans l’attente d’une nouvelle incarnation pour continuer son évolution. Nous devons absolument partir des travaux d’Emile Pinel parfaitement résumés par un excellent article du physicien Serge Nahon que vous pouvez consulter sur Internet.<br><br>Je me contenterai de citer les conclusions de Serge Nahon : « Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magnétique, pourtant ils agissent sur nous.<br><br>Mais le plus curieux est qu’à la mort de l’individu, les équations indiquent que deux de ces champs « meurent » mais pas le troisième. C’est pourquoi nous disons que les champs H1 et H2 « meurent ». Mais le champ H3 ne « meurt » pas, c’est sa variation en fonction du temps qui meurt. Autrement dit, à la mort de l’individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Emile Pinel sur les malades qu’il a soignés.<br><br>Toute incarnation implique une mort inéluctable de la forme physique, mais implique également une survivance au niveau du champ de forme contenant les impondérables, donc le psychisme. Notre liberté réside dans la maîtrise de ce que nous acceptons de croire donc du contenu immatériel de notre psychisme ». |
− | Dans le rapport de l'Assemblée Nationale sur les sectes de 1999, on lit (page 24): ''"La Commission a été alertée par le fonctionnement de la '''Faculté Privée des Sciences Humaines de Paris'''. Plusieurs témoignages d'étudiants ont fait état de pratiques qui leur évoquaient les mouvements sectaires. On ne peut, bien sûr, se risquer à porter des accusations sans preuve. Il n'en demeure pas moins que l'absence de locaux fixes, le fait que les cours n'aient lieu que le week-end et que le droit d'entrée soit de 20.000 francs, mériteraient une investigation particulière."''<ref>http://www.assemblee-nationale.fr/dossiers/sectes/r1687p2.asp Voir I.- Une influence économique inquiétante B.- le secteur de l'éducation 3.- Les établissements contrôlés (page 24)</ref> | + | Dans le rapport de l'Assemblée Nationale sur les sectes de 1999, on lit (page 24): ''"La Commission a été alertée par le fonctionnement de la '''Faculté Privée des Sciences Humaines de Paris'''. Plusieurs témoignages d'étudiants ont fait état de pratiques qui leur évoquaient les mouvements sectaires. On ne peut, bien sûr, se risquer à porter des accusations sans preuve. Il n'en demeure pas moins que l'absence de locaux fixes, le fait que les cours n'aient lieu que le week-end et que le droit d'entrée soit de 20.000 francs, mériteraient une investigation particulière."''<ref>http://www.assemblee-nationale.fr/dossiers/sectes/r1687p2.asp Voir I.- Une influence économique inquiétante B.- le secteur de l'éducation 3.- Les établissements contrôlés ('''page 24''')</ref> |
− | Cette "Faculté Privée des Sciences Humaines de Paris", en abrégé FPSHP, 21 avenue Marcel David, 94600 Choisy le Roi<ref>http://www.e-pro.fr/val-de-marne/recherche-developpement-en-sciences-humaines-et-sociales/fpshp-faculte-privee-sciences-humaines_f2484674 Lien mort</ref>, est (ou plutôt était) une antenne française de l'[[Université Européenne des Sciences et Ressources Humaines]], en abrégé UESRH, de Mr [[Cyrus Irampour]]. On trouvait Me Bousquet également mentionnée parmi les enseignants-chercheurs de cette dernière<ref>[[media:UESRH_Les enseignants.pdf|Les enseignants de l'Université Européenne des Sciences et Ressources Humaines]]</ref>. On remarquera aussi que faisait partie de cette UERSH d'[[Cyrus Irampour|Irampour]] un [[Collège Universitaire Privé des Sciences Humaines]], en abrégé (CUPSH), dont l'adresse est (ou était) également 21 Avenue Marcel David, 94600 Choisy Le Roi<ref>http://www.lesecoles.net/etablissement/94-choisy-le-roi/0942228l-college-universitaire-prive-des-sciences-humaines Lien mort</ref>. Ce nom de "Faculté Privée des Sciences Humaines de Paris" dont on ne trouve plus aucune trace sur le net hormis La mention par ses anciens élèves qui en ont été diplômés<ref name='viadeo'></ref>, se serait-il transformé, suite à ce rapport de l'Assemblée Nationale de 1999, en "[[Collège Universitaire Privé des Sciences Humaines]]"?
| + | On trouvait Jacqueline Bousquet mentionnée parmi les enseignants-chercheurs de l'Université Européenne des Sciences et Ressources Humaines (UESRH) <ref>[[media:UESRH_Les enseignants.pdf|Les enseignants de l'Université Européenne des Sciences et Ressources Humaines]]</ref>. Or, faisait partie de cette UESRH d'[[Cyrus Irampour|Irampour]] un [[Collège Universitaire Privé des Sciences Humaines]] (CUPSH) dont l'adresse était 21 Avenue Marcel David, 94600 Choisy Le Roi<ref name='dansmaville'></ref>. Ce nom de "Faculté Privée des Sciences Humaines de Paris" dont on ne trouve aujourd'hui que peu de trace sur Internet sauf ici<ref name='viadeo'></ref> ou dans quelques CV d'anciens diplômés, se serait-il transformé, suite à ce rapport de l'Assemblée Nationale de 1999, en "[[Collège Universitaire Privé des Sciences Humaines]]"? |