* ''En 1964, Naessens a été d'accord pour que l'Anablast soit testé par le professeur Pierre Denoix, directeur de l'Institut Gustave-Roussy à Villejuif, France. Denoix a conclu que Naessens se trompait dans la prémisse sur laquelle se fonde le sérum, et qu'un examen des cas de cancer et de leucémie mal traités avec l'Anablast prouvait que le sérum n'avait pas de valeur thérapeutique. (Dans tous les cas prétendument de succès que Denoix avait pu examiner, le patient avait d'abord reçu un traitement standard.) Peu après, Naessens a été inculpé pour pratique illégale de la médecine et de la pharmacie.<ref>Affaire Naessens -- Rapport du professeur Denoix, directeur du l'Institute du cancer de Paris. Medicine et Hygiene 827:104-105, 1964</ref><ref>http://doc.rero.ch/record/62841/files/1964-01-27.pdf Avis de Denoix et de la communauté médicale française sur l'Anablast</ref>'' | * ''En 1964, Naessens a été d'accord pour que l'Anablast soit testé par le professeur Pierre Denoix, directeur de l'Institut Gustave-Roussy à Villejuif, France. Denoix a conclu que Naessens se trompait dans la prémisse sur laquelle se fonde le sérum, et qu'un examen des cas de cancer et de leucémie mal traités avec l'Anablast prouvait que le sérum n'avait pas de valeur thérapeutique. (Dans tous les cas prétendument de succès que Denoix avait pu examiner, le patient avait d'abord reçu un traitement standard.) Peu après, Naessens a été inculpé pour pratique illégale de la médecine et de la pharmacie.<ref>Affaire Naessens -- Rapport du professeur Denoix, directeur du l'Institute du cancer de Paris. Medicine et Hygiene 827:104-105, 1964</ref><ref>http://doc.rero.ch/record/62841/files/1964-01-27.pdf Avis de Denoix et de la communauté médicale française sur l'Anablast</ref>'' |