| === Commentaire de Jean-Daniel Metzger au sujet du soutien d'[[Initiative citoyenne]]<ref>http://silicium.blogspirit.com/archive/2016/01/28/condamnation-du-dr-philippe-bry-pour-entrave-aux-oligations-3065365.html</ref> === | | === Commentaire de Jean-Daniel Metzger au sujet du soutien d'[[Initiative citoyenne]]<ref>http://silicium.blogspirit.com/archive/2016/01/28/condamnation-du-dr-philippe-bry-pour-entrave-aux-oligations-3065365.html</ref> === |
− | Lorsqu'on a le culot de se présenter en martyr après avoir commis des faux en écriture en trompant les bonnes gens afin de tenter de lever des fonds (12 000 € aux dernières nouvelles !) pour atténuer le poids des condamnations dont ont à écopé, lorsqu'on n'est pas blanc comme neige, et que l'on veut poser avantageusement sur la toile, il faut s'attendre à se faire gifler publiquement par les mêmes voies. | + | Lorsqu'on a le culot de se présenter en martyr après avoir commis des faux en écriture, en trompant les bonnes gens afin de tenter de lever des fonds (12 000 € aux dernières nouvelles !) pour atténuer le poids des condamnations dont on a écopé, lorsqu'on n'est pas blanc comme neige, et que l'on veut poser avantageusement sur la toile, il faut s'attendre à se faire gifler publiquement par les mêmes voies. |
− | Le mari me fait observer ceci :<br>''Mon épouse lui apporte plus de 3500 euros par mois (2200 de pension alimentaire a cause d'une erreur de calcul, plus 700 euros de SFS par l'armée, plus 691 d'AF... Même sans travailler, Bry peut survivre...<br>La notion de "sursis" est à creuser : si Bry n'est qu'un "therapeute" comme il le prétend, alors le sursis devrait sauter s'il continue à s'immiscer dans nos affaires familiales. En clair, s'il continue à héberger mon épouse et nos enfants au titre de "thérapeute", il bousille son sursis. S'il l'héberge désormais au titre de "compagne", il bousille son argumentaire.''<br>En effet, si l'épouse (le divorce n'étant pas encore prononcé) vit toujours au domicile de Bry. Le trouble causé par l'ingérence perdure et justifie un appel et non seulement la révocation du sursis mais l'alourdissement de la peine en raison du manquement aux obligations morales d'un médecin. Risque auquel s'ajoute les conséquences possible de la plainte au pénal pour bris et vol d'ordinateur au détriment du fils, plus les dommages et intérêts que ne manquera pas de réclamer le mari bafoué devant la juridiction civile ou pénale compétente, la justice ordinale n'étant pas compétence sur ce plan précis.<br>J'ai le sentiment d'avoir débusqué une affaire qui si elle est menée à son terme risque de faire date en raison du contexte de dérive sectaire, lequel ne résulte pas d'un manquement aux obligations vaccinales mais d'une confusion des genres. Lorsque les médecins et les "psys" en viennent à se substituer aux curés et aux directeurs ou conseillers spirituels dont c'est le métier, rien ne va plus ! Cela devient même une véritable plaie, c'est la raison pour laquelle j'ai proposé à la victime de tout faire pour tenter de mettre définitivement ce médecin hors d'état de nuire !<br>J'ose espérer que vous conviendrez que l'affaire n'est pas banale !<br>Notons que l'interdiction d'exercer pendant x mois ne représente que le volet disciplinaire, et l'ARS aurait entrepris de vérifier la couverture vaccinale de tous les enfants d'une certaine tranche d'âge traités par Bry, ce qui revient à dire qu'un volet pénal pourrait s'ajouter au volet disciplinaire... C'est ce que l'on appelle ''se foutre dans le pétrin...'' | + | Le mari me fait observer ceci :<br>''Mon épouse lui apporte actuellement (janvier 2015) plus de 3500 euros par mois (2200 de pension alimentaire a cause d'une erreur de calcul, plus 700 euros de Supplément Familial par mon employeur, plus 691 d'AF... Même sans travailler, Bry peut survivre...<br>La notion de "sursis" est à creuser : si Bry n'est qu'un "thérapeute" comme il le prétend, alors le sursis devrait sauter s'il continue à s'immiscer dans nos affaires familiales. En clair, s'il continue à héberger mon épouse et nos enfants au titre de "thérapeute", il détruit son sursis. S'il l'héberge désormais au titre de "compagne", il détruit son argumentaire.''<br>En effet, si l'épouse (le divorce n'étant pas encore prononcé) vit toujours au domicile de Bry, le trouble causé par l'ingérence perdure et justifie un appel et non seulement la révocation du sursis mais l'alourdissement de la peine en raison du manquement aux obligations morales d'un médecin. Risque auquel s'ajoute les conséquences possible de la plainte au pénal pour bris et vol d'ordinateur au détriment du fils, plus les dommages et intérêts que ne manquera pas de réclamer le mari bafoué devant la juridiction civile ou pénale compétente, la justice ordinale n'étant pas compétence sur ce plan précis.<br>J'ai le sentiment d'avoir débusqué une affaire qui si elle est menée à son terme risque de faire date en raison du contexte de dérive sectaire, lequel ne résulte pas d'un manquement aux obligations vaccinales mais d'une confusion des genres. Lorsque les médecins et les "psys" en viennent à se substituer aux curés et aux directeurs ou conseillers spirituels dont c'est le métier, rien ne va plus ! Cela devient même une véritable plaie, c'est la raison pour laquelle j'ai proposé à la victime de tout faire pour tenter de mettre définitivement ce médecin hors d'état de nuire !<br>J'ose espérer que vous conviendrez que l'affaire n'est pas banale !<br>Notons que l'interdiction d'exercer pendant x mois ne représente que le volet disciplinaire, et l'ARS aurait entrepris de vérifier la couverture vaccinale de tous les enfants d'une certaine tranche d'âge traités par Bry, ce qui revient à dire qu'un volet pénal pourrait s'ajouter au volet disciplinaire... C'est ce que l'on appelle ''se foutre dans le pétrin...'' |