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La famille Seebald avaient trois enfants en commun et un, amené par la mère, vivait avec la famille. Les deux parents étaient séro-positifs, mais refusaient une thérapie. Les deux parents étaient des négationistes de l'existence du virus du SIDA, des adeptes de la [[MNG]] et des [[critique de la vaccination|adversaires de la vaccination]]. Contrairement aux recommandations médicales, la plus jeune fille, Muriel, est née en 2009 à la maison et a été exclusivement nourrie au sein, en dépit de la séroposivité de la mère et du risque d'infection qui en découlait pour l'enfant. La sage-femme qui avait supervisé l'accouchement n'avait pas non plus été informée de la séroposivité de la mère. La fillette avait été infectée par la mère, Barbara Seebald, et, diagnostiquée atteinte du sida, avait été traitée contre la volonté des parents à la "Kinderklinik Uni Graz" (Hôpital universitaire pour enfants de Graz). Les trois enfants aînés de la mère sont séronégatifs. De plus, les vaccinations ont refusés pour les enfants. Cette situation a conduit à ce que tous les enfants soient placés en famille d'accueil. Muriel a reçu un traitement antirétroviral. Les parents ont essayé de contrer la décision des autorités. Ils ont reçu le soutien de [[Stefan Lanka]] ainsi que d'Helmut Pilhar et d'[[Hamer]], qui ont rédigé divers écrits adressés aux autorités et se sont positionnés publiquement.
 
La famille Seebald avaient trois enfants en commun et un, amené par la mère, vivait avec la famille. Les deux parents étaient séro-positifs, mais refusaient une thérapie. Les deux parents étaient des négationistes de l'existence du virus du SIDA, des adeptes de la [[MNG]] et des [[critique de la vaccination|adversaires de la vaccination]]. Contrairement aux recommandations médicales, la plus jeune fille, Muriel, est née en 2009 à la maison et a été exclusivement nourrie au sein, en dépit de la séroposivité de la mère et du risque d'infection qui en découlait pour l'enfant. La sage-femme qui avait supervisé l'accouchement n'avait pas non plus été informée de la séroposivité de la mère. La fillette avait été infectée par la mère, Barbara Seebald, et, diagnostiquée atteinte du sida, avait été traitée contre la volonté des parents à la "Kinderklinik Uni Graz" (Hôpital universitaire pour enfants de Graz). Les trois enfants aînés de la mère sont séronégatifs. De plus, les vaccinations ont refusés pour les enfants. Cette situation a conduit à ce que tous les enfants soient placés en famille d'accueil. Muriel a reçu un traitement antirétroviral. Les parents ont essayé de contrer la décision des autorités. Ils ont reçu le soutien de [[Stefan Lanka]] ainsi que d'Helmut Pilhar et d'[[Hamer]], qui ont rédigé divers écrits adressés aux autorités et se sont positionnés publiquement.
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Une procédure fut engagée contre la mère Barbara Seebald pour dommages corporels avec des conséquences permanentes, pour mise en danger délibérée d'autrui par des maladies transmissibles ainsi que pour diffamation. Le procès a débuté le 8 juin 2010 à Graz<ref>↑ http://derstandard.at/1271378386227/Gericht-Mutter-von-HIV-infiziertem-Kind-in-Graz-angeklagt</ref>. La mère séropositive a été condamnée le 6 juillet 2010 par le tribunal correctionnel/pénal de Graz pour coups et blessures à dix mois de prison en probation (Autriche: "emprisonnement avec sursis"), elle a fait appel<ref>http://diepresse.com/home/panorama/oesterreich/579159/Baby-mit-HIV-infiziert_Zehn-Monate-bedingt?_vl_backlink=/home/panorama/index.do</ref>. Cette décision a été annulée par la Cour d'appel de Graz à nouveau en Mars de 2012. Le nouveau jugement a été de 14 mois d'emprisonnement avec sursis pour voies de fait graves, propagation d'une maladie contagieuse et calomnie. L'enfant doit vivre avec des dommages permanents graves qui auraient éventuellement pu être évités avec un traitement adéquat<ref>http://steiermark.orf.at/news/stories/2523297</ref>. Après que le procès soit passé par plusieurs instances, Barbara Seebald a été acquittée le 5 juillet 2013<ref>http://steiermark.orf.at/news/stories/2591750/</ref>, mais le jugement n'est pas définitif<ref name='zeit'></ref>. En juillet 2013, elle a mis au monde une autre fille, cette fois à l'hôpital et par césarienne. La décision à propos du droit de garde pour cette enfant n'est pas encore prise<ref>http://wearechangeaustria.wordpress.com/2013/07/21/jugendamt-unrecht-im-namen-des-volkes/</ref>.
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Une procédure fut engagée contre la mère Barbara Seebald pour dommages corporels avec des conséquences permanentes, pour mise en danger délibérée d'autrui par des maladies transmissibles ainsi que pour diffamation. Le procès a débuté le 8 juin 2010 à Graz<ref>↑ http://derstandard.at/1271378386227/Gericht-Mutter-von-HIV-infiziertem-Kind-in-Graz-angeklagt</ref>. La mère séropositive a été condamnée le 6 juillet 2010 par le tribunal correctionnel/pénal de Graz pour coups et blessures à dix mois de prison en probation (Autriche: "emprisonnement avec sursis"), elle a fait appel<ref>http://diepresse.com/home/panorama/oesterreich/579159/Baby-mit-HIV-infiziert_Zehn-Monate-bedingt?_vl_backlink=/home/panorama/index.do</ref>. Cette décision a été annulée par la Cour d'appel de Graz à nouveau en Mars de 2012. Le nouveau jugement a été de 14 mois d'emprisonnement avec sursis pour voies de fait graves, propagation d'une maladie contagieuse et calomnie. L'enfant doit vivre avec des dommages permanents graves qui auraient éventuellement pu être évités avec un traitement adéquat<ref>http://steiermark.orf.at/news/stories/2523297</ref>. Après que le procès soit passé par plusieurs instances, Barbara Seebald a été acquittée le 5 juillet 2013<ref>http://steiermark.orf.at/news/stories/2591750/</ref>, mais le jugement n'est pas définitif<ref name='zeit'>http://www.zeit.de/2013/28/hiv-mutter-kind-oesterreich/komplettansicht</ref>. En juillet 2013, elle a mis au monde une autre fille, cette fois à l'hôpital et par césarienne. La décision à propos du droit de garde pour cette enfant n'est pas encore prise<ref>http://wearechangeaustria.wordpress.com/2013/07/21/jugendamt-unrecht-im-namen-des-volkes/</ref>.
 
   
 
   
 
Le mari Leonhard Seebald est décédé le 11 mai 2010, la cause de la mort était finalement un œdème pulmonaire<ref name='zeit'></ref>. Sa veuve ne considérait cependant pas que la responsabilité de son décès était à attribuer aux conséquences de sa séropositivité, mais a déclaré que son mari était décédé "par la torture de la médecine d'école [la médecine conventionnelle] contrôlée par le secteur pharmaceutique et de ses sbires, les autorités administratives et les tribunaux"<ref>https://www.facebook.com/leonhard.seebald
 
Le mari Leonhard Seebald est décédé le 11 mai 2010, la cause de la mort était finalement un œdème pulmonaire<ref name='zeit'></ref>. Sa veuve ne considérait cependant pas que la responsabilité de son décès était à attribuer aux conséquences de sa séropositivité, mais a déclaré que son mari était décédé "par la torture de la médecine d'école [la médecine conventionnelle] contrôlée par le secteur pharmaceutique et de ses sbires, les autorités administratives et les tribunaux"<ref>https://www.facebook.com/leonhard.seebald
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