Pourtant, après neuf ans d’instruction, Claude Sabbah n’est aujourd’hui convoqué devant le tribunal correctionnel que pour « publicité mensongère ». L’enquête a fait suite à la plainte d’une femme dont le mari, atteint d’un cancer de la prostate, était décédé après avoir abandonné tout traitement classique pour se conformer aux préceptes de la [[Biologie Totale|Biologie totale]]. « Aucun lien direct n’a pu être établi entre Claude Sabbah et le patient décédé », regrette Alain Caumont, président de l’Adfi Hérault-Lozère, une association membre de l’Unadfi. | Pourtant, après neuf ans d’instruction, Claude Sabbah n’est aujourd’hui convoqué devant le tribunal correctionnel que pour « publicité mensongère ». L’enquête a fait suite à la plainte d’une femme dont le mari, atteint d’un cancer de la prostate, était décédé après avoir abandonné tout traitement classique pour se conformer aux préceptes de la [[Biologie Totale|Biologie totale]]. « Aucun lien direct n’a pu être établi entre Claude Sabbah et le patient décédé », regrette Alain Caumont, président de l’Adfi Hérault-Lozère, une association membre de l’Unadfi. |