| + | * http://www.ais-info.org/Application/PrintNews.aspx?Id=2274 Déjà en 2008, au Canada, il y avait eu une décision justice :<br> "''Le Centre hospitalier de l’Université Laval (CHUL) a obtenu, hier, du Tribunal de la jeunesse, l’autorisation de soigner une enfant de 13 ans atteinte d’une maladie génétique rare, contre la volonté de sa mère, adepte de médecine alternative.<br>L’intégrité de Sophie (nom fictif) était en jeu, tranche la Cour. C’est pourquoi elle autorise la plainte déposée par le CHUL auprès de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) afin d’administrer à l’enfant des traitements en médecine traditionnelle pendant 30 jours.<br>Sophie est atteinte d’analbuminémie. La maladie se caractérise par un bas taux d’albumine dans le sang. C’est une protéine qui permet le transport des liquides dans le corps. Comme il ne s’effectue pas correctement, elle connaît divers problèmes de santé comme la compression de certains organes, des kystes sur les reins et un taux de cholestérol élevé.<br>[...] Francine Tremblay (autre nom fictif), sa mère, [...] En décembre, elle a amené Sophie à l’Institut de santé Hippocrate, en Floride, où elle a commencé une cure de plusieurs mois qui comprend, entre autres, un traitement à base de jus d’herbe de blé. [...]''".<br>C'était donc les traitements effectués à l'Hippocrates Health Institute qui mettaient en jeu l’intégrité de "Sophie", c'est à dire sa vie, et étaient la raison de la décision de la Cour. |